Recherche tarifs désespérément ? ou, faut-il afficher ses tarifs sur son site

Recherche tarifs désespérément ? ou, faut-il afficher ses tarifs sur son site

Faut-il afficher ses tarifs sur son site ? C’est une question que me posent souvent mes clientes quand elles en arrivent à cette étape cruciale de la mise en ligne de leur site web.

Alors, telle Roberta, dans « Recherche Susan désespérément » (eh oui, c’est la référence du jour), cherchons à savoir ce qu’il convient de faire en matière d’affichage de ses tarifs.

 

Tout d’abord, si vous êtes artisan ou professionnel du bâtiment, c’est une obligation depuis le 1er avril 2017. Ok, donc pour vous, la réponse est vite trouvée…

 

 

Pour les autres, voici un petit tour des avantages et inconvénients d’afficher, ou non, ses tarifs sur son site :

 

Arguments pour « Afficher ses tarifs sur son site » :

  • C’est ce que cherchent en premier les visiteurs de votre site, enfin, une fois qu’ils ont lu le programme alléchant que vous leur proposez. C’est vrai, ils savent immédiatement si vos services sont dans leur budget ou non. Et si c’est hors de leur budget, vous êtes censée gagner du temps en n’ayant pas à répondre à une demande qui resterait sans suite
  • Quand le client alléché vous contacte, il sait où il met les pieds et la vente devrait être à moitié réalisée. Je dis « devrait » car si votre argumentaire de vente n’est pas au point…
  • C’est aussi une manière de dire « J’assume ma valeur » rassurante pour vos clients.

 

Arguments pour « Ne pas afficher ses tarifs sur son site » :

  • Ceux qui sont pour l’affichage vous diront que ne pas les mettre, c’est « la » pratique de ceux qui ont peur de la concurrence ou peur d’effrayer le client… (MDR)
  • Alors que pour moi, c’est une excellente façon de s’offrir l’occasion de rentrer en contact avec un potentiel client, surtout si vous pratiquez la vente authentique, celle qui ne vous fait pas passer pour un marchand de tapis et laisse tout à fait le droit à votre prospect de vous dire « non ». S’il est intéressé, il va vous contacter via votre site pour en savoir plus.
  • Et puis, imaginez, si vous avez parfaitement rédigé votre argumentaire de vente en préambule à toute prospection, vous pourrez arriver à convaincre votre prospect même s’il n’a pas le budget immédiatement. Il m’est arrivé d’avoir des clients qui me rappellent 6 mois plus tard pour me dire qu’ils sont prêts à démarrer un accompagnement. Le kdo de Noël, même en plein été !
  • Et cette prise de contact vous donne l’occasion de pouvoir expliquer vos services, parce que c’est bien là le problème, quand on vend un service : il faut pouvoir amener le prospect à se faire une représentation mentale de votre service pour qu’il en saisisse toute la valeur et les bénéfices pour lui.

 

– Bon, alors, Edith, on affiche ou on n’affiche pas ?

 

Je vous dirai qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse pour savoir s’il faut afficher ses tarifs. C’est à vous de décider de VOTRE réponse, de ce avec quoi vous êtes à l’aise.

 

Je dirai aussi qu’afficher ses tarifs sur son site, c’est valable si vous évoluez dans un univers (ultra) concurrentiel, car ça devient un argument de vente (un argument, pas un bénéfice, nuance…). Ne pas les afficher vous permet d’avoir des conversations de vente puissantes si elles sont bien préparées dès lors que vous connaissez la valeur de ce que vous apportez.

 

Moi, j’ai pris le parti de ne pas les afficher car j’aime ce contact avec mes prospects. J’aime prendre ce temps pour qu’elles m’exposent leur problématique, me décrivent leurs rêves mais aussi ce qui les bloque pour les atteindre. Et surtout, j’aime quand, à l’issue d’un entretien, ma cliente se sent un petit peu plus confiante parce qu’elle entrevoit le bout de son tunnel, qu’elle relève la tête et qu’elle se dit : « C’est bon, j’y vais car maintenant, je suis sûre que ça va marcher ! ».

Le jour d’après, ou comment rebondir après un échec

Le jour d’après, ou comment rebondir après un échec

Personne ne l’aime et pourtant tout le monde le connait. Parce qu’il est temps d’apprendre à le regarder droit dans les yeux, voici comment transformer votre échec en expérience, votre gadin en tremplin pour votre activité.

 

 

Connaissez-vous le film « Le jour d’après » ? C’est un film catastrophe dans lequel un gigantesque changement climatique anéantit une partie de la Terre. Le héros part à la recherche de son fils, coincé dans une ville ravagée par un violent cyclone, le retrouve, le sauve, lui et sa bande de copains, et les ramène sains et saufs parmi les survivants, qui commencent à se réorganiser après le cyclone et à rebondir après un échec ou une épreuve. D’où le titre « Le jour d’après ».

 

Eh bien, c’est exactement ce que je viens de vivre lors de mon dernier webinaire ! Pas le changement climatique bien sûr, mais la tornade de pépins qui s’est abattue sur moi ce jour là a bien failli avoir ma peau.

 

Dans les faits :

  • Je suis passée par un système dédié aux webinaires, mais les participants n’ont jamais pu accéder à la salle virtuelle. Ils partirent à 15 ans, mais seulement 8 survécurent à l’enfer de l’attente (30 minutes quand même…) pour obtenir la solution grâce à 2 des participants qui sont plus geeks que moi (mille mercis à eux, je sais qu’ils se reconnaitront…).
  • Voilà donc mes 8 survivants hyper motivés à me regarder coûte que coûte en live sur YouTube, moi et mon PowerPoint. Enfin, du PowerPoint, ils n’ont eu que la première page pendant toute l’heure qu’a duré le webinaire. Car il n’a jamais défilé pour eux…
  • Quand je posais une question, si les participants voulaient me répondre, ils étaient obligés de revenir sur le système (toujours aveugle et sourd), répondre dans le chat et repartir sur YouTube pour écouter la réponse… Je vous garantis que ça limite les échanges. Encore une fois, je remercie la courageuse qui a bien voulu naviguer entre les 2 plate-formes.

 

Voici donc dans les grandes lignes les problèmes que j’ai rencontrés.

 

Ironie du sort, j’abordais, entre autres, le thème du perfectionnisme quand on est solopreneur et comment s’y prendre pour le garder sous contrôle en faisant attention, notamment, d’éviter les situations qui le réveillent.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce jour-là, il a eu un sacré coup de trompette dans ses oreilles (pourtant endormies) et il a été poussé à son max !

 

J’étais extrêmement contrariée (le mot est faible), mais l’avantage, quand on est perfectionniste justement, c’est qu’on prévoit pas mal de pare-feux. Au cas où… et dans mon cas, j’avais écrit mon webinaire. Alors, certes, j’étais contrariée (on le serait à moins) et perturbée (tu m’étonnes), mais au moins, j’ai pu maintenir mon webinaire en lisant mon texte (ma « bouée ») plutôt que reporter, ou pire, annuler, mon webinaire.

OK, ça fait quand même pas génial sur le replay (même qu’on y entend quelques jurons au début…), mais ce fut une excellente illustration de mon propos du jour : « Ce que vous ferez ne sera peut-être jamais assez bien, mais ce qui compte, c’est de passer à l’action » (ou, dans mon cas, de rester dans l’action !).

 

Bon, appelons un chat, un chat : ce fut la cata !

 

Eh bien c’est ça, la vie de solopreneur, une suite de hauts et de bas, bien loin d’un long fleuve tranquille

D’où l’importance de se connaître et d’avoir un mental d’acier pour pouvoir s’appuyer dessus et savoir rebondir après un échec.

 

Justement, comment rebondir après un échec ?

 

Je vous propose de vous livrer des éléments de réponse issus de la conférence de Charles Pépin sur l’échec : tout d’abord, il est nécessaire de prendre un temps pour s’interroger : s’interroger sur les raisons qui ont conduit à l’échec ET sur ce qu’on désire vraiment suite à cet échec.

 

Voici les 4 conditions pour réussir son échec :

  1. Reconnaître dans l’échec la part qui vient de SOI :

Là, OK, il y a eu un véritable problème technique, mais la prochaine fois, je testerai mieux l’accès au webinaire. Je suis d’ailleurs en train de simuler des webinaires (avec mon fils dans le rôle du participant qui y accède). Et ça fonctionne maintenant !

  1. Ne pas s’identifier à son échec

C’est-à-dire, je NE SUIS PAS mon échec : j’ai échoué mais je NE SUIS PAS un échec. Je considère mon échec comme une expérience (qui me rend également plus humble). L’échec est une question et non une réponse. Qu’ai-je besoin d’apprendre pour progresser ?

Alors là clairement, j’ai besoin de m’améliorer avec la technique. Je vais être juste quand même avec moi, j’ai progressé par rapport à mon précédent webinaire, car cette fois-ci, j’avais réussi à faire défiler mon PowerPoint (ouais quand même !). Et même s’il n’y a eu que moi pour en profiter…

  1. Se demander ce que ça me dit de mon désir ?

Suis-je à ma place ou pas ? Est-ce que ça me renforce dans mes convictions que je vais y arriver, ou, selon Nietzsche : « Ce qui ne me tue pas me rend plus fort ». Ou est-ce que ça me détruit ? Dans ce cas, il faut chercher à faire autre chose.

Ma réponse est claire : je suis dans le premier cas !

  1. Allez vivre dans un pays où on ne stigmatise pas l’échec

C’est-à-dire, les pays du nord de l’Europe ou les anglo-saxons. Pas possible pour vous de déménager ? Reprendre les étapes 1 à 3 sera donc votre meilleur moyen de rebondir après un échec.

 

 

Alors oui, je ne suis pas satisfaite de mon webinaire. Oui, j’étais très mécontente, voire en colère, j’ai crié (contre la société qui organise les webinaires, le type qui n’avançait pas sur la route après, même s’il n’y était pour rien, mais ça soulage, et de toute façon, il n’a rien entendu…).

 

Mais oui, je continue ! Parce que je suis tenace ! Parce que j’ai un but et tant que je n’aurais pas tout essayé, rien ne m’arrêtera ! Parce que c’est ça la vie du solopreneur (et des autres aussi finalement) et malgré mon syndrome de perfectionista, je continue, parce que “si l’échec vous apprend quelque chose, vous n’êtes pas vraiment perdant » – Zig Ziglar. Ouf ! ?

 

D’ailleurs, vous avez vu, j’ai conjuré le sort avec la technique : j’ai fait ma 1ère vidéo pour vous présenter cet article. Non mais !

 

Tu veux ou tu veux pas ? ou comment se motiver pour trouver des clients

Tu veux ou tu veux pas ? ou comment se motiver pour trouver des clients

Vous avez décidé de faire de votre passion une solo-entreprise au service des autres (vous êtes coach, consultante, thérapeute…) et quand il s’agit de se motiver pour trouver des clients, vous vous demandez certainement :

  • Comment démarrer face à l’immensité de tout ce qu’il y a à faire,
  • Comment vous faire connaître,
  • Comment trouver vos premiers clients,

Avec en prime :

  • Une petite famille adorable mais, comment dire… envahissante ? (oups, culpabilité pour avoir eu cette mauvaise pensée…)
  • Un conjoint qui piaffe de vous voir ramener des sous,
  • L’impression de n’avancer sur rien,
  • L’envie de tout faire bien, qui vous pousse à revenir encore et toujours sur les mêmes choses,
  • La culpabilité de vous mettre à votre bureau et de ne pas avoir envie de travailler…

Bref si vous vous sentez engluée dans vos propres freins pour vous motiver pour trouver des clients, je vous invite à ma prochaine conférence en ligne qui aura lieu

le mardi 23 mai à 14h00

et qui s’intitule :

Boostez le lancement de votre activité. Décrochez vos 1ers clients !

 

Vous pouvez dès à présent réserver votre place ici : https://app.webinarjam.net/register/31517/3be38acb79

 

Voici les points que j’aborderai pendant cette conférence :

  1. Tout ce qu’on ne vous dira pas au sujet du solopreneuriat
  2. Les 3 étapes à mettre en place pour se motiver pour trouver ses 1ers clients
  3. Comment il est possible de sortir du perfectionnisme pour passer à l’action

Et bien d’autres choses encore…

 

Pour vous inscrire, c’est par ici : https://app.webinarjam.net/register/31517/3be38acb79

 

On se retrouve mardi 23 mai à 14h00 ? J’ai hâte d’y être !

Elle voit des clients partout ! ou comment définir votre client idéal (Part 2)

Elle voit des clients partout ! ou comment définir votre client idéal (Part 2)

Dans mon précédent article, vous avez pu découvrir pourquoi un persona marketing et/ou client idéal, et/ou clientèle cible était nécessaire pour développer votre business. Dans cette 2ème partie, vous allez maintenant définir votre client idéal (c’est quand même plus joli que persona marketing, non ?)

Comment définir votre client idéal ?

Votre client idéal, c’est la personne avec qui vous avez un réel plaisir à travailler parce ce que vous êtes sur la même longueur d’ondes : une connaissance parfaite de votre client idéal va vous permettre de transformer votre prospect en client prêt à investir dans vos produits/services. En clair, il a un problème, vous avez une solution qu’il trouve irrésistible parce qu’il se sent compris. Et donc qu’il achète !

Qui se ressemble, s’assemble !

C’est une personne (imaginaire, quoique, ce peut-être une personne avec qui vous avez déjà travaillé) avec des caractéristiques propres, comme vous et moi. Vous avez deux possibilités pour collecter et réunir les informations nécessaires pour définir votre client idéal :

  • Soit c’est une personne qui vous ressemble (et c’est généralement le cas pour beaucoup de solopreneurs qui créent leur business à partir d’une problématique qu’ils ont eux-mêmes rencontrée et dépassée),
  • Soit vous pouvez créer un questionnaire que vous enverrez à des personnes que vous connaissez ou via les réseaux sociaux pour obtenir ces données.

Le truc en + : si vous n’avez pas d’idée, demandez vous avec quelle personne vous seriez prête à travailler gratuitement ? On est bien d’accord que « tout le monde ! » n’est pas la bonne réponse.

 

Donner vie et définir votre client idéal 

  • Un nom, ça le rend tout de suite plus humain (certains iront même jusqu’à le personnifier en rajoutant une photo)
  • Des données démographiques : son âge, son genre, où il habite, ses diplômes et formations, sa situation familiale, sa profession, ses revenus…
  • Des données psychologiques : son histoire personnelle, ses valeurs, ses croyances de vie…
  • Des données culturelles : ses loisirs, ses centres d’intérêts, sa façon de s’habiller, ses lectures, la musique qu’il aime écouter, là où il passe ses vacances…

 

Je sais, ça fait beaucoup d’informations à récolter.

La bonne nouvelle : vous allez gagner un temps fou par la suite pour créer vos offres, déterminer votre positionnement prix et créer votre contenu de communication. Cerise sur le gâteau : vous économiserez aussi de l’argent.

La mauvaise nouvelle : ce n’est pas fini.

 

  • Passons maintenant à son problème principal : qu’est-ce qui l’empêche de dormir la nuit ? Ses craintes ? Ses peurs ?
  • Last but not least, quel résultat votre client veut il désespérément obtenir ? Qu’espère t’il atteindre en achetant votre produit/service ? Comment veut-il se sentir ?

 

Avec toutes ces informations en poche, vous allez maintenant pouvoir créer la super offre qui lui ira comme un gant, votre communication et la vente de vos produits/services en seront simplifiées. Vous éprouverez du plaisir à exercer et à développer votre business.

 

Enfin, une dernière précision : je sais que quand on débute, c’est ultra angoissant de se dire qu’on va se limiter à une petite frange de la population. Définir votre client idéal ne vous empêchera pas de travailler avec d’autres profils. Du moins au début… Quand votre business sera en place et aura atteint sa vitesse de croisière, vous pourrez vous offrir le luxe de refuser certains clients, ceux qui ne vous font pas (du tout) vibrer ! Et ça pourrait bien arriver plus vite que vous ne le pensez…

 

Si vous ne pouvez pas attendre pour que votre business décolle, prenez rv pour une séance diagnostic offerte et nous ferons le point sur ce que vous avez déjà mis en place et ce qui vous manque pour vivre de votre activité.

Elle voit des clients partout ! Pourquoi il vous faut absolument un persona marketing (Part 1)

Elle voit des clients partout ! Pourquoi il vous faut absolument un persona marketing (Part 1)

Avez-vous déjà entendu parler de « Persona Marketing » ? Non ? Je vous rassure, je ne connaissais pas moi non plus, il y a quelques années quand j’ai lancé ma première entreprise. Et c’est certainement l’erreur numéro un des solopreneurs quand ils lancent leur activité : voir des clients partout, vouloir vendre à tout le monde et donc… à personne !

 

« Mais pas du tout, Edith ? Moi, mon produit/service, tout le monde peut en avoir besoin ! »

 

Ça va peut-être vous surprendre, voir vous faire peur, je sais que c’est un point ultrasensible pour nombre de solopreneurs, mais la réponse est : non, tout le monde n’a pas besoin de votre produit/service, aussi géniaaaaalissime soit-il.

 

Ne fermez pas cette page immédiatement et laissez-moi vous expliquer pourquoi et comment identifier votre persona marketing (aussi connu sous le nom de client idéal, clientèle cible, ou avatar).

 

Pourquoi créer un persona marketing ?

 

Quand j’ai créé ma première entreprise dans le conseil en image, je pensais sincèrement que ça intéresserait tout le monde.

On me demandait d’intervenir pour des étudiants ? Et hop, je créais une offre d’ateliers pour eux.

Les personnes en recherche d’emploi ? Et une autre offre (ou 2)

Des personnes qui avait maigri ? Re une autre offre

Des collégiens ? Et encore une offre (différente de celle des étudiants, bien sûr)

Une entreprise avait besoin de mes services pour ses hôtesses d’accueil ? Bon, je crois que vous avez compris.

 

Sauf que toutes ces offres, je ne pouvais jamais les « recycler » d’un type de client à un autre. Je m’entends encore expliquer à mon fils (10 ans à l’époque) : « C’est comme si j’ai une grosse pelote de laine au-dessus de la tête avec plein de fils qui pendent. Et je saute pour les attraper. A la fin, je vais bien finir par tirer sur le bon fil, celui qui marchera. »

 

Bon, à force de sauter et de tirer sur tous les fils, vous savez ce qui est arrivé : un gros nœud ! Et l’épuisement, les désillusions, la démotivation et la procrastination devant toutes ces clientèles que je devais démarcher : un jour les particuliers, un jour les entreprises, un jour les universités, un jour les collèges, un jour les Weight Watchers et consorts etc. Et ainsi de suite, on recommence le lundi d’après.

Au final, beaucoup d’efforts qui ne portaient pas leurs fruits et un business qui ne décollait pas.

Avec en plus, un stock de prospectus différents pour chacun, mon site Internet qui ressemblait à un souk, il y en avait partout. Quant à ma présence sur les réseaux sociaux, quasi inexistante. Ma comm’ n’était vraiment pas à la hauteur.

 

En plus, je dois bien le reconnaître, il y avait certains ateliers, ça me plaisait moyen moyen de les animer parce que, même si les personnes étaient sympas, leur problématique, ce n’était pas ça qui me faisait vibrer. Moi, ce que j’aimais, c’était travailler avec les entrepreneurs.

 

Donc vous voyez, ma cible, à l’époque, c’était tout le monde. Je passais des heures à concocter des offres et une communication pour chacun. Ça nourrissait ma fibre créatrice, mais pas mon compte en banque !!!

 

Mais ça, c’était avant !

Ouhhhh, ce teasing est absolument insoutenable ! Et pourtant, il vous faudra attendre le prochain article pour connaitre la suite : comment définir votre client idéal.

Si vous ne pouvez pas attendre, que votre business ne décolle pas et vous aimeriez bien savoir pourquoi, prenez rv pour une séance diagnostic offerte et nous ferons le point sur ce que vous avez déjà mis en place et ce qui vous manque pour vivre de votre activité.

Créer son activité : y a d’la magie dans l’air…

Créer son activité : y a d’la magie dans l’air…

Il y a quelques temps, j’avais fait un sondage sur les freins que rencontre un solo-entrepreneur quand il doit créer son activité. J’avais eu de nombreuses réponses (et j’en profite pour remercier encore toutes les personnes qui ont pris le temps de répondre) parmi lesquelles il ressortait que :

  • Le manque de formation, de connaissances marketing et/ou commerciales, de temps et d’organisation,
  • La peur de cibler, donc de ne pas avoir assez de clients est de ne pas arriver à subvenir aux besoins de sa famille,
  • Les questions concernant les outils de communication de son entreprise : site peut ou pas vendeur, qu’est-ce qui empêche les gens de me contacter ?

étaient les plus grands obstacles à franchir quand il s’agit de créer son activité.

 

En résumé : des problèmes de stratégie, confiance et visibilité.

 

Avec un dénominateur commun à ces trois problèmes : il manque cet ingrédient magiiiiiique qui fait toute la différence pour créer son activité.

 

C’est pourquoi j’ai décidé de réaliser un webinaire

 

Jeudi 9 mars à 14h30 (heure française)

 

Sur le thème « 3 étapes pour démarrer votre activité et décrocher vos 1ers clients »

 

Au cours de ce webinaire, j’aborderai les points suivants :

  • L’ingrédient fooooondamental qui devrait être au centre de toute activité (et dont on ne parle peu ou jamais)
  • La meilleur manière de (ré)aligner votre solo entreprise grâce à cet ingrédient extraoooooodinaire en seulement 3 étapes
  • L’utilisation de cet ingrédient enchanteeeeeur pour connecter facilement avec vos clients et vos partenaires professionnels.

 

Alors prête à démarrer votre activité et la faire grandir avec authenticité ?

 

Réservez vite votre place pour ce webinaire pour savoir comment créer son activité avec authenticité et décrocher ses premiers clients,

 

jeudi 9 mars à 14h30 (heure de Paris)

 

Un indice se cache derrière ce lien et on se retrouve jeudi prochain !