Être un entrepreneur aligné, késako ?

Être un entrepreneur aligné, késako ?

Vous arrive t’il de sentir que vous n’avancez pas comme vous voulez dans votre activité ? Que vous éprouvez des difficultés pour trouver des clients, pour clarifier votre cible, pour parler de votre activité, pour passer à l’action et arrêter de procrastiner… Peut-être même en êtes-vous à vous flageller avec des « J’suis nulle en comm’ » ou « Faut que j’me mette un coup de pied au … », faut que…, faut que…, faut que…

Et si toutes ces difficultés étaient simplement la conséquence d’un manque d’alignement dans la stratégie de positionnement de votre activité ?

 

Mais, être un entrepreneur aligné, ça veut dire quoi exactement ?

Dans la vie personnelle, être alignée, c’est être cohérent entre qui on est, ce qu’on pense, ce qu’on dit et ce qu’on fait. C’est faire des choix dans le respect de soi, de ses besoins et de ses valeurs pour apporter du mieux-être dans le monde.

Dans la vie d’un solopreneur, c’est pareil. Etre un solopreneur aligné, c’est répondre à la question : qu’est-ce que je veux accomplir avec mon activité qui me permette de contribuer à la vision que j’ai du monde ? Et quels moyens personnels j’ai pour le faire ?

Quand on est au clair avec sa vision du monde, sa contribution, ses besoins, ses valeurs, ses talents, c’est comme si on se connecte à son GPS intérieur (notre guide intérieur, notre intuition, notre inconscient) qui nous indique qu’on va dans la bonne direction. Oh yeah !!!

 

Pourquoi on devrait toutes être des entrepreneurs alignés ?

Pour faire ce qui nous rend heureuse ! Et ce n’est pas Gandhi qui me contredira :

« Le bonheur, c’est quand ce que vous pensez, ce que vous dites et ce que vous êtes sont en harmonie ».

Et voici quelques-uns des autres avantages :

  • Être alignée dans son activité permet de travailler avec des clients qui partagent nos valeurs, donc on est encore plus heureuse dans notre activité, donc on rayonne, donc on attire encore plus de clients qui nous correspondent… et ainsi de suite.
  • On se détache du regard de notre entourage, vous savez ces petites voix extérieures qui nous disent (parfois avec bienveillance, parfois non) : « Tu devrais te trouver un vrai boulot »…
  • On se détache aussi de notre « ami » le syndrome de l’imposteur, qui ne nous veut pas que du bien, et qui ne manque jamais de la ramener dès qu’on tente une sortie de notre zone de confort. Heureusement pour nous, notre GPS intérieur sait bien mieux que lui, notre mental, « borné » par toutes ses croyances.
  • C’est le meilleur outil de différenciation qui existe pour nous, solopreneurs, qui nous permet de donner la ligne conductrice à notre activité et toute sa saveur à notre communication.

Comment savoir qu’on est un entrepreneur aligné ?

En fait, ça se passe au niveau des sensations corporelles : ressentir une énergie porteuse, un peu comme une grande vague intérieure, avoir l’impression qu’on sort du brouillard et que notre avenir s’éclaircit (on SAIT !), avoir une sensation de légèreté, de joie à faire ce qu’on fait, de libération devant des tâches qui nous semblaient rébarbatives, d’enthousiasme, de fluidité… Toutes nos tensions internes qui disparaissent pour laisser place à cette vibration, cette nouvelle énergie haute et positive qui nous envahit.

Tiens, même notre corps se redresse…

 

Alors comment devenir un entrepreneur aligné ?

stratégie positionnement entrepreneur alignéDevenir un entrepreneur, c’est un vrai parcours de développement personnel.

Devenir un entrepreneur aligné, ça passe déjà par une meilleure connaissance de soi pour identifier en 1er lieu ses forces intérieures, car c’est ce qui permet de vous démarquer et de faire de votre singularité un atout dans votre activité et pour vos clients.

 

C’est pourquoi je vous propose le challenge « You Rock ! » du 12 au 20 février, 7 jours pour trouver votre différence et rendre visible votre activité. On y parlera visibilité, motivation, talents… pour vous permettre d’identifier ce qui vous rend différent et unique, pour pouvoir l’utiliser dans votre activité. Sans que ça passe pour de l’arrogance. Parce qu’on a tous en nous quelque chose qui « rock », baby !

Gérer son espace et son temps : comment tout concilier

Gérer son espace et son temps : comment tout concilier

Aujourd’hui, la parole est à Peggy Dyevre, que je rencontre régulièrement aux soirées networking du réseau Femmes Entrepreneurs. Peggy est la fondatrice de Ranger C Facile, et experte en gestion de l’espace et du temps au travail. L’objectif de Peggy, avec le coaching en rangement, c’est de révéler les talents de ses clients qui n’arrivent pas à se déployer parce qu’ils sont encombrés de diverses manières. D’où le tri et le rangement pour une meilleure ergonomie de l’espace de travail ET du temps.

Alors pour que solopreneur rime avec bonheur, on s’organise parce qu’après tout, ranger, c’est facile !

gestion espace temps travail

 

  1. Bonjour Peggy, parle moi un peu de ton métier. Comment t’est venue l’idée ?

L’idée est venue de mon expérience pro et perso. J’ai toujours travaillé en indépendante (même à mes débuts, quand j’étais au sein de régies pour vendre des espaces publicitaires). Puis je me suis recentrée sur ma famille mais j’ai gardé mon schéma organisationnel « rangement/structuration du temps » afin de pouvoir assurer l’éducation de mes 4 enfants (ah oui, quand même !) et mes formations, tout en dégageant encore du temps pour moi et mes activités, au grand étonnement de mon entourage et de mes amies. Qui m’ont toutes conseillé de me servir de mon talent pour en faire mon métier. C’est comme ça qu’est né Ranger C Facile en 2015 qui connaît depuis, une croissance à 2 zéros (et oui c’est possible !).

En fait, il y a une grande attente, que ce soit pour les particuliers ou en entreprises avec le développement du télétravail et le besoin de fidélisation des employés.

 

  1. Beaucoup de solopreneurs travaillent à partir de chez elles. Quelles seraient tes 3 principales recommandations pour aménager leur bureau ?

Tout d’abord, je recommande beaucoup de clairvoyance et de pragmatisme. Ensuite, de faire la différence entre ses envies et ses moyens. Enfin, ne pas hésiter à être créative à 100 %. Pas besoin d’avoir une pièce dédiée, car les événements de la vie peuvent nous amener à avoir moins d’espace, de même que les logements de Paris ou des grandes villes sont aussi plus petits.

 

  1. Et pour celles qui n’ont pas de pièce dédiée à leur activité ?

C’est là que le pragmatisme entre en jeu. Peu importe d’où on travaille, ce qui compte, c’est d’être clairement dédiée à son activité. Surtout qu’aujourd’hui, on n’a plutôt besoin que d’un ordinateur, d’un mobile et d’une bonne connexion Internet.

Si on décide que de 9 h à midi, on travaille à son activité, même à partir de la table du salon, on est dans « son espace bureau » et on « ferme la boutique perso ». Le mot-clé : « compartimenter » son espace de vie dans sa tête en premier lieu, et après, dans son espace physique. C’est une gymnastique de l’esprit pour laquelle j’accompagne aussi mes clients.

 

  1. Des astuces pour concilier vie pro et vie perso ?

Il faut avoir une grande clarté au niveau de sa gestion temps. J’utilise beaucoup la planification de l’espace–temps, avec le Bullet Journal que j’ai adapté, en laissant de côté la partie créative, et je n’ai gardé que le côté planning en compartimentant le court, le moyen et le long terme.

Le court terme, pour moi, c’est la plage quotidienne voir hebdomadaire, à déterminer selon son rythme de travail. Ensuite au niveau de la journée, tous les matins, on fait ça to-do liste pour essayer de rendre possible ce qu’on a à faire. Ou de le prévoir tout de suite et le planifier, afin de toujours laisser son esprit clairement compartimenté, et surtout disponible pour son travail.

Je me sers souvent des travaux de François Delabré ou de la matrice d’Eisenhower pour apprendre à mes clients comment gérer leurs priorités, leurs urgences et les imprévus de la journée (qui sont souvent des déclencheurs de stress). Avoir un cadre, ça rassure. Tout ce qui est hors cadre met en position de stress.

Pour m’organiser, c’est très clair pour moi, quand mes enfants sont à l’école, je deviens « Ranger C Facile », sans tâche perso, un peu comme la maman qui travaille à l’extérieur de la maison. Quand mes enfants rentrent pour déjeuner ou après l’école, je redeviens « Maman », même si je peux m’autoriser à faire ma veille journalistique, par exemple, pendant qu’ils font leurs devoirs. Par contre, plus aucun rendez-vous téléphonique ou de tâche avec une grande charge de concentration pendant ces moments privilégiés avec ma famille.

Et pour les mamans solo (au travail et dans la vie), je leur apprends à dire «  À 17 heures j’ai un rendez-vous » plutôt que « À 17 heures, je dois être à la sortie de la crèche ». Nul besoin de donner une explication à son interlocuteur.

 

  1. Quand notre activité commence à prendre de l’envergure, impossible de se passer d’un agenda. À quoi ressemble le tien ? Es-tu plutôt agenda papier ou agenda 2.0 ?

J’ai 2 supports pour gérer mon temps : l’agenda Google avec des codes couleurs pour planifier les activités de mes enfants et mon activité professionnelle.

J’ai aussi un agenda papier et des petits carnets parce que j’aime le crissement du crayon sur le papier. Comme j’ai la chance de savoir évaluer le temps qu’il me faudra pour une tâche, je bloque tout de suite une plage dans mon agenda. Par exemple, pour mon rendez-vous de vendredi, je sais que j’ai besoin d’une heure pour le préparer et revoir mes slides. C’est aussi parce que j’ai un book hyper structuré, c’est ma boîte à outils, j’ai une matrice et je n’ai plus qu’à la reprendre et à l’adapter pour chaque client. C’est la standardisation de la tâche qui aide à être efficace.

 

Peggy DYEVRE, dirigeante d’une pme familiale depuis 18 ans avec une équipe de 4 experts juniors.

Une expertise du rangement et de l’optimisation de la gestion temps, en toute sérénité.

Camping ! ou être entrepreneur et partir en vacances même si on démarre son activité ?

Camping ! ou être entrepreneur et partir en vacances même si on démarre son activité ?

C’est les vacances et vous vous demandez si vous pouvez vous permettre de partir en congés alors que vous venez de lancer votre activité et que vous avez peu (ou pas encore) de clients ? C’est même votre obligation et je vous dis pourquoi vous devez vous autoriser cette période off.

 

Et pour celles qui préfèrent lire :

 

Nous y voilà ! La période estivale a commencé et les journaux du soir vont régulièrement nous montrer les kilomètres de bouchons des heureux chanceux sur la route des vacances.

 

La question est : saurez-vous être entrepreneur et (oser) partir en vacances même si vous avez démarré votre activité depuis peu ?

Ou allez vous confirmer les statistiques qui nous révèlent que 50 % des entrepreneurs attendent de 6 à 12 mois pour envisager leurs premiers jours de congés ?

 

Je vous le dis tout de go : à l’heure où je vous écris, je suis dans les starting-blocks, J-5 avant le big Day !

 

Parce que oui, on peut être entrepreneur (même débutant) ET partir en vacances !

 

Et sans aucune culpabilité en plus !!!

 

Les vacances, quand on est solopreneur, en lancement d’activité ou non, c’est absolument nécessaire. Autorisez vous ce moment, QUEL QUE SOIT VOTRE NIVEAU DE DÉVELOPPEMENT, parce que :

  • L’entrepreneuriat, c’est une course de fond et non un sprint
  • C’est le meilleur moment pour prendre du recul sur son activité et mesurer tous les petits pas déjà parcourus
  • C’est le moment de reconnecter avec une des raisons qui vous a incité à lancer votre activité : profiter AUSSI de votre vie perso et de votre famille !

 

Etre entrepreneur et partir en vacances : une course de fond et non un sprint

 

Vous connaissez l’adage : « Qui veut aller loin ménage sa monture » ?

Et bien c’est tout à fait ça, parce que vous êtes le cavalier ET la monture.

Devenir entrepreneur, c’est du long terme et vous avez besoin de recharger régulièrement vos batteries, sinon gare au surmenage, voire le burn out (et oui, il n’y a pas que les salariés qui le connaissent…).

 

L’année dernière, j’ai fait cette bêtise de travailler un an non stop (alors même que ce n’était pas ma 1ère année d’activité…). Résultat : quand je suis (enfin) arrivée sur mon lieu de vacances, j’ai passé la 1ère semaine incapable de faire quoi que ce soit, aucune envie, rien, nada, juste rester sur mon transat et récupérer de toute cette fatigue accumulée.

C’est à ce moment que j’ai compris le mauvais calcul que j’avais fait, car oui, les vacances, c’est un vrai moment pour vous ressourcer, avoir du temps libre, faire des activités qui vous plaisent pour pouvoir revenir complètement dispo pour vos clients et être bien plus efficace dans votre activité ensuite.

 

Alors planifiez dès à présent vos vacances pour l’année à venir (oui, quand on est maman et à son compte, on continue de penser en année scolaire…) et organisez votre activité en fonction de ces périodes off.

 

 

Être entrepreneur et partir en vacances : le meilleur moment pour prendre du recul sur son activité

 

Ouh la, je vous entends déjà. Mais là, pas besoin de bilan chiffré pour constater, avec plaisir, tout le chemin accompli en une année, les obstacles surmontés et reconnaître tous ces petits pas parcourus.

 

Ça renforce votre mental d’entrepreneur, votre confiance en vous et toute cette énergie positive développe votre inspiration et votre créativité. C’est bien connu, c’est en vacances qu’on trouve les meilleures idées pour son business.

Regardez les fondateurs d’Uber, c’est pendant un séjour à Paris et devant la difficulté de trouver un taxi que leur est venue l’idée de créer un service de chauffeurs privés.

 

Être entrepreneur et partir en vacances : profiter pleinement de sa famille !

 

Vous vous rappelez cette raison qui vous a poussé à quitter le salariat : gagner votre vie en faisant un job qui vous plait ET être plus présente pour votre famille. Et bien c’est le moment de vivre en mode Slow Life, vous lever tard sans stress, faire des activités ensemble, déjeuner à l’heure espagnole (diner aussi…), farnienter au bord de la piscine ou construire un château de sable, bref prendre le temps en famille !

 

Je sais que c’est difficile de laisser son 2ème (ou 3ème ou 4ème…) « bébé », cependant les moyens technologiques d’aujourd’hui permettent de déconnecter tout en gardant un œil sur son activité.

 

Personnellement, je passe en revue mes mails une fois par jour, pour répondre aux urgences ou juste dire que je suis en congés. Et vous savez quoi ? Mes clients comprennent très bien cette parenthèse que je m’accorde. En plus, une cliente m’a dit un jour qu’elle trouvait que c’était un gage d’une affaire qui tourne. Comme quoi…

 

Vous voyez, plus d’excuses pour partir en vacances cet été sans culpabilité. Tout n’en sera que bénéfice pour vous.

Maintenant j’ai un devoir de vacances pour vous : partagez dans les commentaires votre destination, ça fera un bel album de photos pour la rentrée ? !

Si vous souhaitez en savoir plus sur les meilleurs moyens d’entretenir votre état d’esprit de solopreneur, prenez RV pour une session découverte gratuite de 45 minutes.

 

Ma petite entreprise… connait pas la crise (lalala…)

Ma petite entreprise… connait pas la crise (lalala…)

Vous voilà fermement décidé à créer un business qui rapporte. Et si vous venez du salariat, pas toujours évident de devenir entrepreneur. Vous n’êtes pas à l’abri de commettre les erreurs typiques du solo-entrepreneur débutant, et qui risquent de mettre en péril votre activité naissante.

Alors pour vous aider à gagner du temps, de l’énergie et de l’argent, voici le top 5 des erreurs à éviter pour ne pas plomber votre si beau projet (avec, en prime, un bonus) :

Comment créer un business qui rapporte : 5 pièges à éviter

1. Investir dans vos outils de communication sans avoir une idée claire de vos différenciateurs

Vous vous dites certainement : 1 nom + 1 logo + 1 carte de visite + 1 site Web + des flyers = mon équation gagnante pour créer un business qui rapporte.

Le problème : tant que vos outils de communication seront trop généralistes ou utilisables par n’importe qui d’autre (du genre carte de visite toute faite de Vistaprint), il est illusoire de croire que vous pourrez vous démarquer de vos concurrents.

La solution : identifier vos forces et vos talents (article en anglais) pour ensuite les mettre en scène au travers de vos outils de communication. Ils deviendront représentatifs de qui vous êtes et vous permettront de créer THE connexion avec vos clients.

2. Vouloir vous adresser à tout le monde

Cibler vous fait peur car nous croyez que vous n’aurez jamais assez de clients pour créer un business qui rapporte ? Vous êtes plutôt du genre à vouloir vous adresser à tout le monde ? Et donc à personne…

Le problème : comme pour vos outils de communication, si vous êtes trop large, vous allez vous épuiser à vouloir servir tout le monde. Sans compter que cela va vous demander une énergie et une disponibilité folles pour toucher tous les publics.

La solution : connaître votre client cible vous permet de créer une relation unique avec lui, de lui parler de façon vraie et authentique, de lui montrer que vous le comprenez, et donc que vous l’aimez. Votre relation est fluide et sincère, il reste fidèle et devient le meilleur ambassadeur de votre marque, il vous recommande !

3. Proposer des services à la carte avec des tarifs à l’heure

Pour chacun de vos prospects, vous envoyez un devis « personnalisé », dont chaque ligne répond à une demande spécifique, en détaillant le temps passé pour chaque prestation.

Le problème : vous y passez justement un temps fou et vous voilà étranglé entre chercher constamment de nouveaux prospects ou travailler avec vos clients. En prime, vos prospects ne perçoivent pas du tout la valeur ajoutée de vos services et ils comparent vos tarifs… pour vous trouver toujours plus cher que la concurrence. Bref vous vous battez sur un tarif alors que vous devriez mettre en avant une valeur ajoutée.

La solution : proposer des formules qui apportent un vrai bénéfice à votre client. Il comprendra comment vos services lui permettront de solutionner son problème et il sera prêt à succomber à l’achat de votre offre irrésistible.

4. Avoir une présence anarchique sur les réseaux sociaux (voire aucune présence !)

Les réseaux sociaux, c’est compliqué ! Non seulement il faut les créer, mais il faut aussi les animer.

Le problème : le réseautage physique, c’est bien, mais ça n’est plus suffisant. Vous rencontrerez vos clients idéaux autant lors de séances de networking que dans des groupes virtuels sur les réseaux sociaux.

La solution : être présent sur quelques réseaux sociaux, là où sont vos clients idéaux, et utiliser des outils pour automatiser vos publications. Un expert dans votre domaine, voilà tout ce qui vous attend quand vous serez un geek des réseaux sociaux.

5. Ne pas avoir d’objectifs clairement définis par écrit

Où en sera votre entreprise dans 3 mois, 1 an, 5 ans ? Vous n’y avez pas réfléchi ? Vous verrez bien où vous mèneront les différents événements que vous rencontrerez…

Le problème : sans objectif, aucune chance de créer un business qui rapporte, car on planifie rarement un échec, par contre on échoue souvent par manque de planification.

La solution : avoir et écrire vos objectifs a un double avantage :

  • Vous entrez dans l’action qui vous apporte forcément des résultats,
  • Les écrire entretient votre motivation sur le long terme. Et quand on est solo-entrepreneur, il faut tenir la distance et savoir s’accorder un certain temps pour récolter les fruits de son travail. D’où l’intérêt de relire régulièrement ses objectifs pour définir son cap, le garder et surtout constater avec plaisir tout le chemin parcouru.

En bonus :

Je l’avoue, ces 5 erreurs, je les ai faites dans mon 1er business. Elles m’ont coûté cher mais j’ai appris de mes erreurs et pour Solopreneur & Me, je me suis fait coacher, d’une part pour définir tout mon branding, d’autre part pour développer mon business sur le web. C’est ce que je transmets maintenant à mes clients solo-entrepreneurs : ils mettent en place une base solide à leur activité pour créer un business qui rapporte beaucoup plus rapidement.

Entrepreneur : pourquoi et quand se faire accompagner ?

Entrepreneur : pourquoi et quand se faire accompagner ?

Savez-vous quelles sont 2 des questions qu’on me pose régulièrement ? « POURQUOI un auto-entrepreneur (en herbe ou pas) devrait-il SE FAIRE ACCOMPAGNER ? ». Suivi généralement de : « Mais COMMENT SAVOIR SI C’EST LE BON MOMENT pour être accompagné ? ».

Et même s’il y a parfois une pointe de défi dans ces questions, la plupart du temps elles représentent un VERITABLE ENJEU pour beaucoup de solo-entrepreneurs que je rencontre et qui souhaitent mettre toutes les chances de leur côté pour réussir la création et/ou le développement de leur activité.

POURQUOI un auto-entrepreneur devrait-il se faire accompagner ?

Il est vrai que, si le SPI (Stage de Préparation à l’Installation) est exigé pour les artisans, les commerçants et les libéraux n’ont pas d’obligation à se former ou à se faire accompagner.

Pourtant, sur 100% des entrepreneurs qui créeront cette année, seulement 30% seront toujours en activité dans 3 ans. Heureusement, des études ont aussi montré que L’ACCOMPAGNEMENT FAVORISE LA PERENNITE d’une entreprise au-delà des 3 ans. Ouf !

Conclusion : pourquoi se faire accompagner quand on crée une entreprise (surtout quand on vient du salariat) ? Parce que devenir entrepreneur, ça s’apprend ! Et ça garantira la survie de votre activité.

La seconde question est tout aussi intéressante :

QUAND doit-on se faire accompagner quand on est entrepreneur indépendant ?

Tout d’abord, si vous vous posez la question, c’est que vous êtes certainement arrivé à un moment de votre vie d’entrepreneur où vous vous interrogez, vous avez des DOUTES ou vous vous posez des FREINS, Parfois même sans vous en rendre compte, du genre :
• Est-ce que ça va marcher ?
• Est-ce que je vais en vivre ?
• Je ferai tel ou telle chose si je fais/j’atteins/je réussis à…
• Je ne peux pas aller à ce rendez-vous tant que je n’ai pas une carte de visite/un site Web digne de ce nom…
• Je ne peux pas demander plus de X €/heure à mes clients parce qu’ils n’ont pas les moyens de mettre plus.

Alors oui, quand on est solo-entrepreneur, on est obligé de faire seul beaucoup de choses. Mais les doutes et les freins, c’est quasi impossible de LES LEVER sans l’aide de quelqu’un, sous peine de stagner.

2 cas de figures pour se faire accompagner en solo-entrepreneur

1. Vous envisagez de créer ou vous démarrez :
Je dirais que c’est le MOMENT IDEAL car cela vous permettra de mettre en place des bases solides à votre activité. L’autre avantage indéniable, c’est que cela vous évitera de faire un certain nombre d’erreurs communes aux solo-entrepreneurs débutants.
On peut dire que ce sera votre MEILLEUR INVESTISSEMENT en argent (quelque soit la forme d’accompagnement choisi) et en temps (je reviendrai dans un prochain article sur cette notion de temps nécessaire pour créer une activité).

2. Vous avez déjà créé et votre activité n’avance pas/plus comme vous voulez :
Il est temps, là aussi, de faire appel à quelqu’un qui va vous aider à IDENTIFIER CE QUI COINCE. Parce qu’on ne le voit pas toujours ou parce que ça peut être difficile de lâcher prise sur un point de notre activité qui ne fonctionne pas, alors qu’on s’est déjà tellement investi. Dans ce cas, le regard de votre coach va vous permettre cette PRISE DE CONSCIENCE et la MISE EN PLACE D’ACTIONS pour réaligner et réajuster votre activité.

Et je suis bien placée pour vous en parler car J’AI VECU LES 2 EXPERIENCES : Solopreneur And Me est ma deuxième entreprise et pour celle-là, je me suis faite accompagner pour ne pas renouveler les mêmes erreurs qu’avec ma première activité (Look At Me).

ET J’AI VU LA DIFFERENCE !!!

Une plus grande confiance, des objectifs clairs, un discours fluide, mes premiers clients obtenus alors que je n’avais ni logo, ni carte de visites, ni site Web ! Un gain de temps et d’argent… ça a été tellement profitable que je continue à être coachée, pour être sûre que j’avance toujours dans la bonne direction.

Alors si j’ai réussi, il y a de fortes chances pour que vous connaissiez le même succès en INVESTISSANT TEMPS, ARGENT ET ENERGIE EN VOUS, car quand on crée son activité en indépendant, vous êtes votre entreprise et votre entreprise, c’est vous !

Cet article vous a plu ? Ou il a réveillé chez vous une expérience connue que vous voudriez partager en toute bienveillance ? Laissez-moi un commentaire ci-dessous. Je réponds maintenant à tous les messages (car normalement, je reçois l’information des nouveaux messages postés …)

Vous avez envie de passer le cap de l’entrepreneuriat ou de voir ce que vous pourriez atteindre, c’est par ici !