Camping ! ou être entrepreneur et partir en vacances même si on démarre son activité ?

Camping ! ou être entrepreneur et partir en vacances même si on démarre son activité ?

C’est les vacances et vous vous demandez si vous pouvez vous permettre de partir en congés alors que vous venez de lancer votre activité et que vous avez peu (ou pas encore) de clients ? C’est même votre obligation et je vous dis pourquoi vous devez vous autoriser cette période off.

 

Et pour celles qui préfèrent lire :

 

Nous y voilà ! La période estivale a commencé et les journaux du soir vont régulièrement nous montrer les kilomètres de bouchons des heureux chanceux sur la route des vacances.

 

La question est : saurez-vous être entrepreneur et (oser) partir en vacances même si vous avez démarré votre activité depuis peu ?

Ou allez vous confirmer les statistiques qui nous révèlent que 50 % des entrepreneurs attendent de 6 à 12 mois pour envisager leurs premiers jours de congés ?

 

Je vous le dis tout de go : à l’heure où je vous écris, je suis dans les starting-blocks, J-5 avant le big Day !

 

Parce que oui, on peut être entrepreneur (même débutant) ET partir en vacances !

 

Et sans aucune culpabilité en plus !!!

 

Les vacances, quand on est solopreneur, en lancement d’activité ou non, c’est absolument nécessaire. Autorisez vous ce moment, QUEL QUE SOIT VOTRE NIVEAU DE DÉVELOPPEMENT, parce que :

  • L’entrepreneuriat, c’est une course de fond et non un sprint
  • C’est le meilleur moment pour prendre du recul sur son activité et mesurer tous les petits pas déjà parcourus
  • C’est le moment de reconnecter avec une des raisons qui vous a incité à lancer votre activité : profiter AUSSI de votre vie perso et de votre famille !

 

Etre entrepreneur et partir en vacances : une course de fond et non un sprint

 

Vous connaissez l’adage : « Qui veut aller loin ménage sa monture » ?

Et bien c’est tout à fait ça, parce que vous êtes le cavalier ET la monture.

Devenir entrepreneur, c’est du long terme et vous avez besoin de recharger régulièrement vos batteries, sinon gare au surmenage, voire le burn out (et oui, il n’y a pas que les salariés qui le connaissent…).

 

L’année dernière, j’ai fait cette bêtise de travailler un an non stop (alors même que ce n’était pas ma 1ère année d’activité…). Résultat : quand je suis (enfin) arrivée sur mon lieu de vacances, j’ai passé la 1ère semaine incapable de faire quoi que ce soit, aucune envie, rien, nada, juste rester sur mon transat et récupérer de toute cette fatigue accumulée.

C’est à ce moment que j’ai compris le mauvais calcul que j’avais fait, car oui, les vacances, c’est un vrai moment pour vous ressourcer, avoir du temps libre, faire des activités qui vous plaisent pour pouvoir revenir complètement dispo pour vos clients et être bien plus efficace dans votre activité ensuite.

 

Alors planifiez dès à présent vos vacances pour l’année à venir (oui, quand on est maman et à son compte, on continue de penser en année scolaire…) et organisez votre activité en fonction de ces périodes off.

 

 

Être entrepreneur et partir en vacances : le meilleur moment pour prendre du recul sur son activité

 

Ouh la, je vous entends déjà. Mais là, pas besoin de bilan chiffré pour constater, avec plaisir, tout le chemin accompli en une année, les obstacles surmontés et reconnaître tous ces petits pas parcourus.

 

Ça renforce votre mental d’entrepreneur, votre confiance en vous et toute cette énergie positive développe votre inspiration et votre créativité. C’est bien connu, c’est en vacances qu’on trouve les meilleures idées pour son business.

Regardez les fondateurs d’Uber, c’est pendant un séjour à Paris et devant la difficulté de trouver un taxi que leur est venue l’idée de créer un service de chauffeurs privés.

 

Être entrepreneur et partir en vacances : profiter pleinement de sa famille !

 

Vous vous rappelez cette raison qui vous a poussé à quitter le salariat : gagner votre vie en faisant un job qui vous plait ET être plus présente pour votre famille. Et bien c’est le moment de vivre en mode Slow Life, vous lever tard sans stress, faire des activités ensemble, déjeuner à l’heure espagnole (diner aussi…), farnienter au bord de la piscine ou construire un château de sable, bref prendre le temps en famille !

 

Je sais que c’est difficile de laisser son 2ème (ou 3ème ou 4ème…) « bébé », cependant les moyens technologiques d’aujourd’hui permettent de déconnecter tout en gardant un œil sur son activité.

 

Personnellement, je passe en revue mes mails une fois par jour, pour répondre aux urgences ou juste dire que je suis en congés. Et vous savez quoi ? Mes clients comprennent très bien cette parenthèse que je m’accorde. En plus, une cliente m’a dit un jour qu’elle trouvait que c’était un gage d’une affaire qui tourne. Comme quoi…

 

Vous voyez, plus d’excuses pour partir en vacances cet été sans culpabilité. Tout n’en sera que bénéfice pour vous.

Maintenant j’ai un devoir de vacances pour vous : partagez dans les commentaires votre destination, ça fera un bel album de photos pour la rentrée ? !

Si vous souhaitez en savoir plus sur les meilleurs moyens d’entretenir votre état d’esprit de solopreneur, prenez RV pour une session découverte gratuite de 45 minutes.

 

Le jour d’après, ou comment rebondir après un échec

Le jour d’après, ou comment rebondir après un échec

Personne ne l’aime et pourtant tout le monde le connait. Parce qu’il est temps d’apprendre à le regarder droit dans les yeux, voici comment transformer votre échec en expérience, votre gadin en tremplin pour votre activité.

 

 

Connaissez-vous le film « Le jour d’après » ? C’est un film catastrophe dans lequel un gigantesque changement climatique anéantit une partie de la Terre. Le héros part à la recherche de son fils, coincé dans une ville ravagée par un violent cyclone, le retrouve, le sauve, lui et sa bande de copains, et les ramène sains et saufs parmi les survivants, qui commencent à se réorganiser après le cyclone et à rebondir après un échec ou une épreuve. D’où le titre « Le jour d’après ».

 

Eh bien, c’est exactement ce que je viens de vivre lors de mon dernier webinaire ! Pas le changement climatique bien sûr, mais la tornade de pépins qui s’est abattue sur moi ce jour là a bien failli avoir ma peau.

 

Dans les faits :

  • Je suis passée par un système dédié aux webinaires, mais les participants n’ont jamais pu accéder à la salle virtuelle. Ils partirent à 15 ans, mais seulement 8 survécurent à l’enfer de l’attente (30 minutes quand même…) pour obtenir la solution grâce à 2 des participants qui sont plus geeks que moi (mille mercis à eux, je sais qu’ils se reconnaitront…).
  • Voilà donc mes 8 survivants hyper motivés à me regarder coûte que coûte en live sur YouTube, moi et mon PowerPoint. Enfin, du PowerPoint, ils n’ont eu que la première page pendant toute l’heure qu’a duré le webinaire. Car il n’a jamais défilé pour eux…
  • Quand je posais une question, si les participants voulaient me répondre, ils étaient obligés de revenir sur le système (toujours aveugle et sourd), répondre dans le chat et repartir sur YouTube pour écouter la réponse… Je vous garantis que ça limite les échanges. Encore une fois, je remercie la courageuse qui a bien voulu naviguer entre les 2 plate-formes.

 

Voici donc dans les grandes lignes les problèmes que j’ai rencontrés.

 

Ironie du sort, j’abordais, entre autres, le thème du perfectionnisme quand on est solopreneur et comment s’y prendre pour le garder sous contrôle en faisant attention, notamment, d’éviter les situations qui le réveillent.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce jour-là, il a eu un sacré coup de trompette dans ses oreilles (pourtant endormies) et il a été poussé à son max !

 

J’étais extrêmement contrariée (le mot est faible), mais l’avantage, quand on est perfectionniste justement, c’est qu’on prévoit pas mal de pare-feux. Au cas où… et dans mon cas, j’avais écrit mon webinaire. Alors, certes, j’étais contrariée (on le serait à moins) et perturbée (tu m’étonnes), mais au moins, j’ai pu maintenir mon webinaire en lisant mon texte (ma « bouée ») plutôt que reporter, ou pire, annuler, mon webinaire.

OK, ça fait quand même pas génial sur le replay (même qu’on y entend quelques jurons au début…), mais ce fut une excellente illustration de mon propos du jour : « Ce que vous ferez ne sera peut-être jamais assez bien, mais ce qui compte, c’est de passer à l’action » (ou, dans mon cas, de rester dans l’action !).

 

Bon, appelons un chat, un chat : ce fut la cata !

 

Eh bien c’est ça, la vie de solopreneur, une suite de hauts et de bas, bien loin d’un long fleuve tranquille

D’où l’importance de se connaître et d’avoir un mental d’acier pour pouvoir s’appuyer dessus et savoir rebondir après un échec.

 

Justement, comment rebondir après un échec ?

 

Je vous propose de vous livrer des éléments de réponse issus de la conférence de Charles Pépin sur l’échec : tout d’abord, il est nécessaire de prendre un temps pour s’interroger : s’interroger sur les raisons qui ont conduit à l’échec ET sur ce qu’on désire vraiment suite à cet échec.

 

Voici les 4 conditions pour réussir son échec :

  1. Reconnaître dans l’échec la part qui vient de SOI :

Là, OK, il y a eu un véritable problème technique, mais la prochaine fois, je testerai mieux l’accès au webinaire. Je suis d’ailleurs en train de simuler des webinaires (avec mon fils dans le rôle du participant qui y accède). Et ça fonctionne maintenant !

  1. Ne pas s’identifier à son échec

C’est-à-dire, je NE SUIS PAS mon échec : j’ai échoué mais je NE SUIS PAS un échec. Je considère mon échec comme une expérience (qui me rend également plus humble). L’échec est une question et non une réponse. Qu’ai-je besoin d’apprendre pour progresser ?

Alors là clairement, j’ai besoin de m’améliorer avec la technique. Je vais être juste quand même avec moi, j’ai progressé par rapport à mon précédent webinaire, car cette fois-ci, j’avais réussi à faire défiler mon PowerPoint (ouais quand même !). Et même s’il n’y a eu que moi pour en profiter…

  1. Se demander ce que ça me dit de mon désir ?

Suis-je à ma place ou pas ? Est-ce que ça me renforce dans mes convictions que je vais y arriver, ou, selon Nietzsche : « Ce qui ne me tue pas me rend plus fort ». Ou est-ce que ça me détruit ? Dans ce cas, il faut chercher à faire autre chose.

Ma réponse est claire : je suis dans le premier cas !

  1. Allez vivre dans un pays où on ne stigmatise pas l’échec

C’est-à-dire, les pays du nord de l’Europe ou les anglo-saxons. Pas possible pour vous de déménager ? Reprendre les étapes 1 à 3 sera donc votre meilleur moyen de rebondir après un échec.

 

 

Alors oui, je ne suis pas satisfaite de mon webinaire. Oui, j’étais très mécontente, voire en colère, j’ai crié (contre la société qui organise les webinaires, le type qui n’avançait pas sur la route après, même s’il n’y était pour rien, mais ça soulage, et de toute façon, il n’a rien entendu…).

 

Mais oui, je continue ! Parce que je suis tenace ! Parce que j’ai un but et tant que je n’aurais pas tout essayé, rien ne m’arrêtera ! Parce que c’est ça la vie du solopreneur (et des autres aussi finalement) et malgré mon syndrome de perfectionista, je continue, parce que “si l’échec vous apprend quelque chose, vous n’êtes pas vraiment perdant » – Zig Ziglar. Ouf ! ?

 

D’ailleurs, vous avez vu, j’ai conjuré le sort avec la technique : j’ai fait ma 1ère vidéo pour vous présenter cet article. Non mais !

 

Tu veux ou tu veux pas ? ou comment se motiver pour trouver des clients

Tu veux ou tu veux pas ? ou comment se motiver pour trouver des clients

Vous avez décidé de faire de votre passion une solo-entreprise au service des autres (vous êtes coach, consultante, thérapeute…) et quand il s’agit de se motiver pour trouver des clients, vous vous demandez certainement :

  • Comment démarrer face à l’immensité de tout ce qu’il y a à faire,
  • Comment vous faire connaître,
  • Comment trouver vos premiers clients,

Avec en prime :

  • Une petite famille adorable mais, comment dire… envahissante ? (oups, culpabilité pour avoir eu cette mauvaise pensée…)
  • Un conjoint qui piaffe de vous voir ramener des sous,
  • L’impression de n’avancer sur rien,
  • L’envie de tout faire bien, qui vous pousse à revenir encore et toujours sur les mêmes choses,
  • La culpabilité de vous mettre à votre bureau et de ne pas avoir envie de travailler…

Bref si vous vous sentez engluée dans vos propres freins pour vous motiver pour trouver des clients, je vous invite à ma prochaine conférence en ligne qui aura lieu

le mardi 23 mai à 14h00

et qui s’intitule :

Boostez le lancement de votre activité. Décrochez vos 1ers clients !

 

Vous pouvez dès à présent réserver votre place ici : https://app.webinarjam.net/register/31517/3be38acb79

 

Voici les points que j’aborderai pendant cette conférence :

  1. Tout ce qu’on ne vous dira pas au sujet du solopreneuriat
  2. Les 3 étapes à mettre en place pour se motiver pour trouver ses 1ers clients
  3. Comment il est possible de sortir du perfectionnisme pour passer à l’action

Et bien d’autres choses encore…

 

Pour vous inscrire, c’est par ici : https://app.webinarjam.net/register/31517/3be38acb79

 

On se retrouve mardi 23 mai à 14h00 ? J’ai hâte d’y être !

Elle voit des clients partout ! Pourquoi il vous faut absolument un persona marketing (Part 1)

Elle voit des clients partout ! Pourquoi il vous faut absolument un persona marketing (Part 1)

Avez-vous déjà entendu parler de « Persona Marketing » ? Non ? Je vous rassure, je ne connaissais pas moi non plus, il y a quelques années quand j’ai lancé ma première entreprise. Et c’est certainement l’erreur numéro un des solopreneurs quand ils lancent leur activité : voir des clients partout, vouloir vendre à tout le monde et donc… à personne !

 

« Mais pas du tout, Edith ? Moi, mon produit/service, tout le monde peut en avoir besoin ! »

 

Ça va peut-être vous surprendre, voir vous faire peur, je sais que c’est un point ultrasensible pour nombre de solopreneurs, mais la réponse est : non, tout le monde n’a pas besoin de votre produit/service, aussi géniaaaaalissime soit-il.

 

Ne fermez pas cette page immédiatement et laissez-moi vous expliquer pourquoi et comment identifier votre persona marketing (aussi connu sous le nom de client idéal, clientèle cible, ou avatar).

 

Pourquoi créer un persona marketing ?

 

Quand j’ai créé ma première entreprise dans le conseil en image, je pensais sincèrement que ça intéresserait tout le monde.

On me demandait d’intervenir pour des étudiants ? Et hop, je créais une offre d’ateliers pour eux.

Les personnes en recherche d’emploi ? Et une autre offre (ou 2)

Des personnes qui avait maigri ? Re une autre offre

Des collégiens ? Et encore une offre (différente de celle des étudiants, bien sûr)

Une entreprise avait besoin de mes services pour ses hôtesses d’accueil ? Bon, je crois que vous avez compris.

 

Sauf que toutes ces offres, je ne pouvais jamais les « recycler » d’un type de client à un autre. Je m’entends encore expliquer à mon fils (10 ans à l’époque) : « C’est comme si j’ai une grosse pelote de laine au-dessus de la tête avec plein de fils qui pendent. Et je saute pour les attraper. A la fin, je vais bien finir par tirer sur le bon fil, celui qui marchera. »

 

Bon, à force de sauter et de tirer sur tous les fils, vous savez ce qui est arrivé : un gros nœud ! Et l’épuisement, les désillusions, la démotivation et la procrastination devant toutes ces clientèles que je devais démarcher : un jour les particuliers, un jour les entreprises, un jour les universités, un jour les collèges, un jour les Weight Watchers et consorts etc. Et ainsi de suite, on recommence le lundi d’après.

Au final, beaucoup d’efforts qui ne portaient pas leurs fruits et un business qui ne décollait pas.

Avec en plus, un stock de prospectus différents pour chacun, mon site Internet qui ressemblait à un souk, il y en avait partout. Quant à ma présence sur les réseaux sociaux, quasi inexistante. Ma comm’ n’était vraiment pas à la hauteur.

 

En plus, je dois bien le reconnaître, il y avait certains ateliers, ça me plaisait moyen moyen de les animer parce que, même si les personnes étaient sympas, leur problématique, ce n’était pas ça qui me faisait vibrer. Moi, ce que j’aimais, c’était travailler avec les entrepreneurs.

 

Donc vous voyez, ma cible, à l’époque, c’était tout le monde. Je passais des heures à concocter des offres et une communication pour chacun. Ça nourrissait ma fibre créatrice, mais pas mon compte en banque !!!

 

Mais ça, c’était avant !

Ouhhhh, ce teasing est absolument insoutenable ! Et pourtant, il vous faudra attendre le prochain article pour connaitre la suite : comment définir votre client idéal.

Si vous ne pouvez pas attendre, que votre business ne décolle pas et vous aimeriez bien savoir pourquoi, prenez rv pour une séance diagnostic offerte et nous ferons le point sur ce que vous avez déjà mis en place et ce qui vous manque pour vivre de votre activité.

Créer son activité : y a d’la magie dans l’air…

Créer son activité : y a d’la magie dans l’air…

Il y a quelques temps, j’avais fait un sondage sur les freins que rencontre un solo-entrepreneur quand il doit créer son activité. J’avais eu de nombreuses réponses (et j’en profite pour remercier encore toutes les personnes qui ont pris le temps de répondre) parmi lesquelles il ressortait que :

  • Le manque de formation, de connaissances marketing et/ou commerciales, de temps et d’organisation,
  • La peur de cibler, donc de ne pas avoir assez de clients est de ne pas arriver à subvenir aux besoins de sa famille,
  • Les questions concernant les outils de communication de son entreprise : site peut ou pas vendeur, qu’est-ce qui empêche les gens de me contacter ?

étaient les plus grands obstacles à franchir quand il s’agit de créer son activité.

 

En résumé : des problèmes de stratégie, confiance et visibilité.

 

Avec un dénominateur commun à ces trois problèmes : il manque cet ingrédient magiiiiiique qui fait toute la différence pour créer son activité.

 

C’est pourquoi j’ai décidé de réaliser un webinaire

 

Jeudi 9 mars à 14h30 (heure française)

 

Sur le thème « 3 étapes pour démarrer votre activité et décrocher vos 1ers clients »

 

Au cours de ce webinaire, j’aborderai les points suivants :

  • L’ingrédient fooooondamental qui devrait être au centre de toute activité (et dont on ne parle peu ou jamais)
  • La meilleur manière de (ré)aligner votre solo entreprise grâce à cet ingrédient extraoooooodinaire en seulement 3 étapes
  • L’utilisation de cet ingrédient enchanteeeeeur pour connecter facilement avec vos clients et vos partenaires professionnels.

 

Alors prête à démarrer votre activité et la faire grandir avec authenticité ?

 

Réservez vite votre place pour ce webinaire pour savoir comment créer son activité avec authenticité et décrocher ses premiers clients,

 

jeudi 9 mars à 14h30 (heure de Paris)

 

Un indice se cache derrière ce lien et on se retrouve jeudi prochain !

« Coach me up ! (before you go, go…)

« Coach me up ! (before you go, go…)

Le Salon des Entrepreneurs qui a eu lieu la semaine dernière est l’endroit idéal pour démarrer son projet de solo entreprise. C’est aussi l’endroit idéal pour trouver un accompagnement, notamment rencontrer, et pourquoi pas, choisir un coach pour auto entrepreneur (ou micro entrepreneur, oui je sais, c’est le nouveau terme à utiliser).

 

« Un coach pour auto entrepreneur ? Mais comment je le choisis ? »

 

Salon des entrepreneurs, donc, 2 février 2017, 17h39 : je rencontre Emily qui souhaite démarrer sa solo entreprise (elle est traductrice). Elle me parle de son projet, de sa passion et… de ses peurs (de ne pas trouver de clients sur un marché concurrentiel, de ne pas arriver à s’organiser, de devoir se mettre aux réseaux sociaux « professionnels »…).

 

Hum Hum, ça me rappelle mes débuts, ça me parle tout ça ! Et vous ?

 

Après avoir assisté à plusieurs conférences, elle pense se faire accompagner. Oui, mais voilà ! Elle s’est rajoutée une énième peur dans son sac (déjà bien plein) : elle se demande comment choisir son coach pour auto entrepreneur ? Sur quels critères se baser ? Comment savoir si c’est le bon (hé oui, dans ce domaine aussi…) ?

 

Salon des Entrepreneurs, 2 février 2017, 18h03 : voici la réponse que je lui ai faite pour trouver chaussure (le coach, pas le conjoint ?!) à son pied :

 

Comment reconnaître VOTRE coach pour auto entrepreneur ?

 

  1. Votre coach est votre premier fan ! Yes !
  • De façon IN-CON-DI-TIO-NNELLE ! Il vous accepte tel(le) que vous êtes, vous et votre projet. Hors de question de vous juger ou de juger de la pertinence de votre projet. Il est centré sur ce que vous avez d’unique, de différent et de comment votre projet fait sens pour vous.

 

  • Comme tout fan, il est heureux avec vous dans VOS succès : après tout, c’est vous la star ! Et il vous soutient dans les moment moins funs. Il est là pour vous servir (et c’est aussi grâce au travail qu’il fait avec vous qu’il contribue à une cause plus grande pour le monde).

 

  • Il est source d’inspiration : il fait passer une énergie, une vision, un sens qui résonnent pour vous. Il ouvre votre champ des possibles parce qu’il est passé par là. Se faire accompagner par un coach pour auto entrepreneur qui a connu la création d’entreprise est un gage de réussir la relation qui va s’installer entre vous. Parce que oui, le feeling, le courant doivent passer entre vous.

 

  1. Votre coach pour auto entrepreneur a les qualités personnelles suivantes
  • Il vous écoute : il entend votre demande du moment et il la comprend. Même si elle est en dehors du programme du jour. Une aparté parfois nécessaire pour vous aider à mieux vous centrer sur votre objectif : la création de votre entreprise.

 

  • Il est sincère et authentique avec vous. Pas de faux-semblants ! Je vous rappelle que vous êtes 3 dans le bateau. Oui, 3 ! Vous + lui + le duo que vous formez = 3. Il a un engagement envers vous, celui de vous mener à bon port selon la route que VOUS seul choisissez (en vous faisant passer par des étapes bien précises pour construire une base solide pour votre activité.).

 

  • Il n’a qu’une passion : vous apprendre à entreprendre ! On est bien d’accord : il a un programme établi qui vous fait progresser, qui vous forme au métier d’entrepreneur. Et c’est pour cela qu’il fait ce job !

 

  1. Votre coach pour auto entrepreneur vous aide à passer à l’action
  • Il vous transmet un savoir-faire. Et que serait celui-ci sans la mise en pratique ? Une simple source de démotivation. Alors oui, de l’information, avec une bonne dose de stimulation positive et un mouvement perpétuel. Vous apprendre à entreprendre, on vous dit !

 

  • Il vous aide à rester focalisé(e) sur votre objectif et les différentes étapes pour y parvenir (créer votre entreprise, hein !). Il sait garder le cap quand vous avez l’impression d’être submergé(e) par la masse de ce que vous avez à faire pour démarrer et développer votre business. Rappelez vous : vous êtes 3 dans ce (beau) voyage.

 

  • Ceci dit, si vous espérez qu’il soit le seul à ramer dans votre bateau, passez votre chemin ! Il aura pour vous un niveau d’exigence élevé dans vos objectifs, mais atteignables pour entretenir votre motivation. A bas la médiocrité ! Il attend de vous que VOUS donniez le meilleur de vous-même (tout comme lui avec vous, il est source d’inspiration après tout…).

 

Voilà, à mon sens, comment déterminer qui sera le bon coach pour auto entrepreneur qui vous conviendra.

 

Et après ça, vous pourrez chanter avec moi : « Coach me up ! (before you go, go…) », mon hommage (en libre interprétation) à la chanson de Wham et George Michael ?.