Comment changer ma relation à l’argent a transformé mon activité !

Comment changer ma relation à l’argent a transformé mon activité !

Jamais on ne pourra me taxer de personne avide, cupide et uniquement intéressée par l’argent !

Vous ne pouvez pas savoir combien cette révélation a été un soulagement pour moi quand j’ai découvert mes Archétypes Financiers Sacrés, car voyez-vous, ce qui caractérise mon Archétype #1, c’est son insouciance par rapport à l’argent.

En même temps, cela m’a fait prendre conscience qu’un certain nombre de mes comportements m’avaient fait du tort car c’est cette même insouciance qui m’a souvent amenée à déléguer mon pouvoir financier à d’autres personnes (pas toujours intéressées par mes intérêts…). Cela s’est aussi retrouvé à plusieurs niveaux de ma vie parce que ce que l’on est par rapport à l’argent conditionne tout ce que l’on fait dans la vie (et c’est pour cela que j’ai eu du mal à accepter mon Archétype #1 au début ?).

Avant d’aller plus loin, j’aimerais revenir sur certains points :

✳️ Tout d’abord, qu’est-ce qu’un archétype ? C’est une caractéristique commune, un symbole, un schéma de comportements, inscrit dans l’inconscient collectif et qui est considéré comme universel dans la plupart des cultures (par exemple, l’archétype de la mère ou du père, du bon ou du méchant…).

✳️ Et un Archétype Financier Sacré ? Ils sont au nombre de 8 : Accumulateur, Alchimiste, Anticonformiste, Célébrité, Connecteur, Dirigeant, Nourricier et Romantique. Aucun n’est meilleur que l’autre, ils sont tous doués avec l’argent, chacun à leur façon. Ils ont des attitudes, des habitudes, des talents mais aussi des écueils à éviter avec l’argent.

Nous sommes tous nés avec un Archétype dominant et 2 autres Archétypes qui vont nuancer le 1er.

Si on utilisait le bon côté de son Archétype, tout irait bien. Seulement voilà ! Notre éducation, nos croyances, acquises ou développées selon nos expériences, nous ont bien souvent fait basculer du « côté obscur » de nos Archétypes.

Ce qui fait que vous vous retrouvez avec des situations récurrentesfort désagréables au demeurant : comme être toujours dans le rouge même si vous avez de gros revenus, pratiquer des tarifs bas de peur qu’on vous qualifie de Picsou, dépenser pour des choses quand vous n’avez plus assez pour le loyer à la fin du mois, ou au contraire, ne rien dépenser pour quoi que ce soit et vous stagnez dans votre vie professionnelle, ou ne pas avoir envie de vous occuper des questions financières et vous déléguez cela à des personnes qui n’ont, manifestement, pas les mêmes intérêts que vous…

Situations dont vous n’avez pas toujours conscience puisque c’est inscrit dans votre ADN financier !

Et à chaque fois, c’est le même scénario : vous allez essayer de suivre les conseils de quelqu’un qui « réussit » et… ça ne fonctionne pas, et vous finissez toujours par vous demander ce qui cloche chez vous (d’où perte de confiance, baisse d’estime et auto-flagellation avec tous les noms d’oiseaux inscrits dans votre vocabulaire !).

Ça y est, c’est fini ? Parce que laissez-moi vous dire une vérité : il n’y a rien de mal foutu en VOUS, vous êtes née avec un « code génétique » monétaire, donc vous agissez tel que vous êtes programmée, vous êtes VOUS, avec vos qualités et vos défauts. Et si ça coince avec l’argent, c’est parce que vous n’avez pas « décodé votre ADN financier » et vous êtes entrée de plein pied dans votre zone à risques avec l’argent.

Et avec le sourire en plus, tellement vous pensiez bien faire !

Alors, revenons à ce que je vous disais au début.

Découvrir mes Archétypes Financiers a été un soulagement et en même temps, la prise de conscience de mes comportements négatifs a été un réveil, un peu douloureux au début je vous l’avoue, mais Ô combien salutaire !

Parce que ce fut le point de départ de mon changement avec l’argent !

Bien, maintenant il est acquis que l’argent n’est pas ma préoccupation n°1. OK ! On ne dira jamais de moi que je fais ça pour de l’argent. OK ! Je dormirai toujours sur mes 2 oreilles sachant que l’argent sera toujours disponible. OK ! (3 x Re soulagement !!!).

Sauf que cette insouciance avec l’argent s’est, à un moment de ma vie, transformée en négligence par rapport à mes propres intérêts, car j’ai délégué mon pouvoir sur mes décisions à d’autres personnes.

Passons sur le côté personnel et regardons dans mon activité professionnelle.

En fait, cette insouciance s’est souvent traduite par un manque de clarté quant à mes objectifs.

C’est pour cela que dans ma 1ère activité de Conseil en Image et Communication Inter-personnelle, j’allais un peu dans tous les sens. J’ai par exemple participé à un programme développé par une amie, simplement parce que c’était une amie, alors que ce n’était pas du tout dans cette direction que je voulais mener mon activité (moi, je voulais travailler avec les entrepreneurs !).J’ai donc dépensé beaucoup de temps et d’énergie pour contribuer à ce programme (qui est fantastique au demeurant pour le public concerné), mais ça ne correspondait pas du tout à ma mission d’entrepreneur. Et les résultats s’en ressentaient. En fait, les rapports humains étant bien plus importants à mes yeux (enfin, vus par le prisme de mon Archétype #1), j’avais eu du mal à dire « Non » à mon amie.

J’ai aussi eu beaucoup de séances découvertes avec mes prospects qui se sont transformées en séances stratégiques où je donnais beaucoup gratuitement.

J’ai aussi participé à des salons, fait des animations/conférences/ateliers… tout ça plus ou moins gratuitement ou peu rémunérée, vu la valeur de ce que j’apportais ! Et évidemment, comme je n’avais pas été claire sur mes conditions dès le départ pour préserver la relation, quand j’essayais de rectifier le tir à postériori, ça faisait couac !

Découvrir mes Archétypes Financiers Sacrés m’a permis de prendre conscience que :

? Je suis naturellement douée pour créer des connexions et des relations de valeur, et ça tombe bien ! Car ma mission, avec Solopreneur and Me, est d’aider les entrepreneurs à se connecter à leurs forces intérieures pour pouvoir connecter avec leur public, croire en eux et savoir rebondir en cas de coup dur (car c’est juste après que se trouve le succès).Vous avez de la valeur, vous avez du mal à l’identifier et à la mettre en avant pour prendre place sur votre marché, Who you gonna call ? Solopreneur and Me ! (merci Ghostbusters ?)

? Je suis aussi une bosseuse, visionnaire, infatigable (ou presque), dont la motivation est grande pour créer un monde où chacun a le droit de réussir. Ambition naturelle qui pourrait me mener au surmenage si je ne prends pas garde à me réserver des moments de détente…

? Enfin, ça m’est facile d’encourager les autres, de les aider à découvrir et croire en leur potentiel. Ce qui est hyper inspirant pour mes clientes et me permet, moi aussi, mon propre succès entrepreneurial… à condition que j’arrête de résister (et de râler) à chaque fois que j’ai à me fixer des objectifs précis pour faire avancer mon entreprise !

Les impacts de mon travail sur ma relation à l’argent pour mon entreprise et ma posture d’entrepreneur :

Changer ma relation à l'argent

✅ Travailler sur ma relation à l’argent m’a permis de dépasser mes blocages (dont notamment « On ne doit pas gagner d’argent quand on aide les autres ») avec pour résultat, on ne peut plus concret, de doubler en 1 trimestre mon chiffre d’affaires du semestre précédent !

✅ Ça m’a permis de trouver en moi les ressources nécessaires pour mettre en place une meilleure structure et des procédures dans mon activité, gros travail, pas complètement achevé pour les procédures, mais dont je mesure les effets  positifs et le gain de temps chaque jour.

✅ J’ai, du coup, commencé à externaliser certaines tâches de mon activité qui n’étaient pas ma tasse de thé, notamment au niveau de la gestion et de l’administration de mon site internet (et ça tombe bien, car pouvoir déléguer correspond exactement à la vision à long terme que j’ai pour Solopreneur and Me).Par contre, j’ai décidé de garder la main mise sur ma comptabilité et ma facturation, principalement parce que j’ai trouvé un moyen de rendre ça ludique, mais surtout parce que je veux maitriser cet aspect de mon activité AVANT de la déléguer à quelqu’un (Ouiiiii, j’ai appris la leçon !).

✅ Alors que parfois j’ai eu des moments de doute quant à l’impact de mon travail sur mes clients, j’ai eu la confirmation, avec cette nouvelle connaissance de mes Archétypes, que j’étais non seulement sur la bonne voie, mais en plus, exactement à ma place. Et cela m’a aussi ôté un poids des épaules parce que j’ai longtemps cherché ma place (je sais que toutes les n°2 d’une fratrie me comprendront…).Aujourd’hui, JE SAIS que je suis apte à diriger mon entreprise en m’appuyant sur mes forces et en restant alignée avec qui je suis !

✅ Enfin, pour un impact encore plus fort pour mes clientes, j’ai ajouté une autre corde à mon arc. Je me suis formée aux Archétypes Financiers Sacrés, pour que mes clientes puissent à leur tour bénéficier de la puissance de cet outil. Mes accompagnements ont gagné en valeur et les Archétypes Financiers viennent idéalement compléter le travail sur l’état d’esprit qu’un entrepreneur doit avoir, notamment quand on aborde la vente (mais c’est une autre histoire dont je vous parlerai dans un futur article).

En attendant, si vous souhaitez vous-aussi découvrir vos Archétypes Financiers Sacrés, je vous propose de faire le test gratuitement pour un premier aperçu de votre mode de fonctionnement avec l’argent.

Pour accéder au test et obtenir immédiatement votre résultat, veuillez cliquer sur ce lien.

Et je vous invite à partager dans les commentaires votre top 3 des Archétypes Financiers Sacrés et les prises de conscience que cela vous a apportées dans votre relation avec l’argent et votre solo-entreprise.

Comment gagner plus d’argent dans votre solo-entreprise ?

Comment gagner plus d’argent dans votre solo-entreprise ?

Une de nos motivations, quand on devient solopreneur, est aussi de créer sa liberté financière. Très vite, une question va se poser : « Comment gagner plus d’argent dans ma solo-entreprise pour atteindre cette liberté financière ? ». Nous allons alors élaborer différentes stratégies, créer d’autres offres de services, multiplier les actions de visibilité…

Pourtant avez-vous remarqué comme certaines situations ont tendance à se répéter dans votre activité ? Des situations qui vous freinent, voire même qui se transforment en véritable outil d’auto-sabotage . Non seulement cela nuit au bon fonctionnement de votre activité, mais cela vous empêche d’accéder à la réussite financière.

La raison ?

Ce n’est pas un manque de créativité, de motivation, d’envie, ou je ne sais quoi d’autre. Non, la raison est à chercher dans votre relation avec l’argent, qui est à la base de vos blocages dans votre vie d’entrepreneur.

Pourquoi ?

Parce que c’est votre relation avec l’argent qui influence tout ce que vous faites dans votre vie !

Par exemple : imaginons que vous ayez l’habitude (consciente ou non) de décider par avance qu’un prospect n’aura pas les moyens de se payer vos services => comme votre cerveau va faire en sorte que vos actions viennent conforter vos croyances, vous allez, au choix, 1) pratiquer des prix bas, 2) dire dès le début qu’une séance d’1 heure dure généralement 1h15, 3) proposer une remise avant même que votre prospect n’en parle, 4) les 3 à la fois…

Du coup, la question est : êtes-vous payée à votre juste valeur et gagner plus d’argent en continuant cette façon de faire ? Il y a fort à parier que la réponse soit « Non », surtout si vous avez coché la 4) !

Parce que c’est votre relation avec l’argent qui influence tout ce que vous faites dans votre vie !

Donc, si vous vous demandez comment gagner plus d’argent dans votre solo-entreprise, ce n’est pas en travaillant plus mais en travaillant mieux que vous y arriverez.

D’où l’importance de comprendre votre mode de fonctionnement intérieur par rapport à l’argent.

Et pour cela, les Archétypes Financiers Sacrés sont un outil extrêmement puissant.

Les archétypes, d’après Carl Jung, sont des « personnages imaginaires inscrits dans l’inconscient collectif », qui « organisent les perceptions, représentations et processus psychiques, mais aussi l’activité et les comportements du sujet » (Source Wikipédia).

Concernant l’argent, ils sont au nombre de 8, chacun, donc, avec des comportements, des dons, des talents, mais aussi des challenges qui lui sont propres.

Connaitre votre top 3 des Archétypes Financiers Sacrés va vous permettre de comprendre votre mode de fonctionnement intérieur et de résoudre les attitudes et habitudes qui vous desservent dans votre vie de solopreneur et amplifier celles qui vous sont favorables. Et répondre ainsi à la question « Comment gagner plus d’argent dans ma solo-entreprise ? ».

Maintenant j’ai une question pour vous :

Êtes-vous prête à découvrir VOS Archétypes Financiers Sacrés ?

Si la réponse est Ouiiiii !!! alors, voici comment faire :

1️⃣ Téléchargez votre PDF et faites le test en suivant les recommandations de la 1ère page :

 J’accède au test en cliquant sur ce lien

Ce test ne vous prendra que 10 minutes environ pour le faire, et quand vous aurez reporté les résultats finaux sur la dernière page, vous obtiendrez vos Archétypes Financiers Sacrés par ordre d’importance.

2️⃣ Vous trouverez également un lien pour obtenir un aperçu du descriptif des différents profils des Archétypes Financiers Sacrés et comprendrez votre mode de fonctionnement par rapport à l’argent.

Vous découvrirez également le surnom de votre Archétype qui décrit en quelques mots l’essence même de votre Archétype. Et avec votre Contrat Sacré avec l’Argent, vous apprendrez quelle différence vous êtes programmée à faire dans le monde à travers la perspective unique de votre Archétype n°1.

Vous verrez, c’est bluffant !

 J’accède au test en cliquant sur ce lien

3️⃣Pour terminer, je serais ravie que vous me partagiez votre top 3 des Archétypes Financiers Sacrés et comment cela vous a apporté de la clarté dans votre mode de fonctionnement. Les miens sont Connecteur, Dirigeant et Alchimiste.

Pour cela, il vous suffit de le partager dans les commentaires ci-dessous.

Comment gagner plus d'argent

Envie d’aller plus loin dans la découverte de votre top 3 des Archétypes et comment ils influencent votre vie de solopreneur ?

Je vous invite à réserver dès à présent votre séance découverte offerte. Vous repartirez avec une meilleure compréhension de la combinaison de votre top 3, comment ses challenges vous empêchent d’obtenir ce que vous voulez et comment faire pour les dépasser.

Retour de vacances : comment reprendre le rythme ?

Retour de vacances : comment reprendre le rythme ?

Aujourd’hui est mon 1er jour de reprise « officielle » parce que même si je suis rentrée depuis une semaine, je n’ai pas réussi à reprendre le rythme avant ! Voilà, c’est comme ça !

Je sais que bientôt ma boite mail va regorger de « Les vacances, c’est fini, youpi, c’est reparti ! », mais moi, non, nada, nein, no !

Cette année, j’ai pris 3 + 1 semaines de vacances. En toute conscience. Avec mon accord plein et total. Parce que j’ai ce qu’on appelle le « holidays blues ». Ne cherchez pas, vous ne le trouverez pas dans le Vidal, c’est juste moi qui ai besoin de temps pour m’y remettre.

J’❤️ mon job, j’❤️mes clientes, j’❤️tout ce qui tourne autour de mon entreprise (sauf peut-être, dans une moindre mesure, la compta), mais je me suis rendue compte que depuis quelques années, quand je reviens de vacances, ben, y’a rien à faire ma p’tite dame, je n’arrive pas à rentrer un jour et être ultra pêchue dans ma solo-entreprise le lendemain.

Si c’est aussi votre cas (par pitié, dites-moi que je ne suis pas la seule pour qui ce n’est pas facile de reprendre), voici comment j’ai apprivoisé mon « holidays blues » et comment j’ai repris le rythme, MON rythme :

 

#1- Constater cet état de fait et l’accepter avec bienveillance

La 1ère fois que ça m’est arrivé, je n’y ai pas prêté attention. Résultat, ça m’a travaillé pendant 2 semaines. 2 semaines pendant lesquelles j’ai culpabilisé à fond, envisagé la possibilité de changer de travail (ohh mais quelle horreur !) et essayé de me sortir de ma torpeur estivale à coup de « allez bouge toi ! », « mets toi un coup de pied au …! », « comment tu peux être mollassonne comme ça, après les vacances ! ». Une telle énergie négative pendant si longtemps + un mode « stop ‘n go » = ça m’a littéralement vidée, à tel point que j’aurais pu repartir en vacances. C’était bien la peine…

Alors qu’en fait, voilà la vérité, dans MON rythme à moi, il me faut prévoir 1 semaine pour rentrer de vacances, remettre la maison en route, et moi aussi par la même occasion, en adoptant un mode « slow » pour pouvoir reprendre tout en prolongeant l’effet ressourçant des vacances. Mon état d’esprit, cette année, est totalement différent, il est positif, bienveillant et du coup, je n’ai pas grillé mon énergie renouvelée pendant les vacances.

 

#2- Décider consciemment d’une durée accordée à sa « douleur »

2ème point pour sortir de mon « holidays blues » : avoir décidé à l’avance d’un temps que je m’accorde à être plongée dans cet état de transition (pour moi, c’est 1 semaine, pas moins) ET, pour le 1er jour de reprise « officielle », poser le 1er pas d’une action professionnelle « simple » qui me met en énergie po-si-ti-ve (ex. : faire des visuels vs faire l’administratif, j’dis ça, j’dis rien…).

Pourquoi ?

Parce que l’énergie et la motivation se renforcent dans l’action : ce n’est pas tant le fait de faire une chose qui compte, ce qui prévaut, c’est de porter son attention sur quelque chose de positif, quelque chose de facile à démarrer et qui vous fait plaisir. Créer des visuels, ça me permet d’accéder à ma créativité, et une fois que j’en avais fait 2-3, c’était feu patate ! La machine était remise en route et… j’ai enchainé avec cet article de blog (même s’il fait 38° dehors et qu’on attend l’orage avec impatience).

 

Comment reprendre le rythme#3- Le prévoir dans son agenda !

« Connais toi toi-même » et tu ne feras pas de boulettes ! Rendez vous compte : la 1ère fois que ça m’est arrivé, j’avais calé des rendez-vous prospects dès mon 1er jour de reprise. Autant vous dire que mon taux de conversion ce jour-là a été de… 0.

L’année d’après, rebelote pour le « holidays blues » ! Sauf que j’avais mis ça sur le compte du décalage, tout en ayant une vague sensation de « pas sure que ce soit vraiment ça ».

Alors cette année, j’ai décidé en pleine conscience de m’accorder une semaine de remise en route, rien de primordial n’était inscrit à mon agenda, si ce n’est pro-fi-ter de mon surplus de vacances sans culpabiliser. Et me voilà prête à accueillir mes clients demain, tout comme plancher sur mes nouveautés de la rentrée, je vous en reparlerai dans peu de temps…

 

??☀️Et vous, comment se passe/passera votre retour de vacances ?

(Y a t’il quelqu’un pour me dire qu’elle vit le même « holidays blues », oui ou non ??)

5 erreurs à éviter quand on veut se démarquer

5 erreurs à éviter quand on veut se démarquer

« Pas facile de se démarquer de la concurrence », telle était la remarque d’une ancienne cliente lors d’un précédent live.

C’est vrai, identifier ce qui nous rend différente et unique n’est pas la tâche la plus facile dans notre métier de solopreneur (oui, être entrepreneur, ça s’apprend !), mais il est vite possible de commettre des impairs en la matière.

Dans ce live, je vous partage un petit tour d’horizon des 5 erreurs à éviter quand on veut se démarquer :

>>> Et pour celles et ceux qui préfèrent lire :

 

Quand on pense « se démarquer », « se différencier », on entre dans la notion de ce qu’on appelle en marketing le « branding ». Cette grosse bébête, c’est ce qui vous permet de cerner votre différence et de l’incarner, pour pouvoir toucher le coeur de vos clients. Si on veut le simplifier à une formule, ce serait :

Être + Faire + Recevoir
(pour ma part, je parle même d' »Accueillir » tant il peut être difficile pour certaines de mes clientes solopreneurs d’accepter ce qu’elles reçoivent en retour de ce qu’elles sont et font…)

Et parce qu’il est important de créer dès le départ une marque forte, qui connecte facilement avec son audience, voici 5 erreurs à éviter quand on veut se démarquer des autres acteurs de son marché :

 

#1- Résumer le branding à un logo et un nom

Pour beaucoup de personnes, quand on parle de se différencier, on pense : site internet, logo, charte graphique, police d’écriture… Tous ces éléments font partie du branding mais ce n’est qu’une partie de l’iceberg, c’est le résultat, la partie visible de quelque chose qui est beaucoup plus profond.

Un peu d’histoire pour comprendre ce qui se cache derrière ce terme. Notre ami Wikipédia nous apprend que le terme « Branding » vient de l’anglo-saxon « Brand » (lui-même issu du germanique « Brend/t) qui, à l’origine, signifiait « marqué par le feu », puis « marqué au fer rouge » (en référence au bétail qu’on marquait pour savoir à qui il appartenait).

Aujourd’hui, en marketing, on va parler de comment votre activité va marquer l’esprit de votre audience, quelle image elle va lui laisser. Et si on se réfère à l’encyclopédie de l’entrepreneur : « Votre marque est la promesse que vous faites à vos clients. Elle leur raconte ce qu’ils peuvent attendre de vos produits/services et elle différencie votre offre de celle de vos concurrents. Votre marque trouve sa source dans qui vous êtes, comment vous voulez être perçue et comment les autres vous perçoivent ».

Donc quand on parle de « Branding » on est là dans les 3 dimensions de l’image, où votre logo, votre site, vos couleurs, votre police de caractère… sont l’expression de qui vous êtes en tant que solopreneur, à destination de votre audience.

 

#2- Copier le voisin

C’est ce qui ce passe quand on n’est pas au clair sur qui on est. Malheureusement, ce qui fonctionne pour un autre acteur de votre marché (je n’aime pas le terme de « concurrent ») ne va pas le faire pour vous.

Pourquoi ?

Parce que cet autre acteur aura certainement fait ce travail de fond qui lui permettra de connecter avec son public. Rappelez-vous, ce que vos clients achètent, ce n’est pas tellement votre produit/service. Ce qu’ils achètent, c’est l’émotion qu’ils vont ressentir, c’est cette promesse, cette connexion émotionnelle qui va les attirer (ou pas).

Et comme vous êtes unique, votre promesse aussi doit être unique !

 

#3- L’absence de cohérence

Une fois que vous êtes au clair sur qui vous êtes, ça doit se retrouver dans tout ce que vous faites dans votre activité, que ce soit votre comportement tout comme vos outils de communication.

Pourquoi ?

Parce que cela a un côté rassurant pour vos clients : votre message, votre valeur ajoutée ne change pas et ça se retrouve dans tout votre environnement de marque. Et c’est cette cohérence qui va permettre à votre audience de reconnaitre votre marque parmi tous les autres acteurs de votre marché.

 

#4- L’absence de constance

Je vois beaucoup de solopreneurs changer constamment, soit pour suivre la tendance du moment (une police de caractère est tendance et hop ! on l’adopte… pour en changer à la prochaine), soit, et c’est un paradoxe, parce que le solopreneur reste trop centré sur lui-même sans penser au message envoyé à son audience.

J’ai rencontré une solopreneur qui changeait la couleur de ses flyers tous les ans pour savoir, quand la personne venait la voir, en quelle année elle avait eu un 1er contact avec elle ! Sérieux, où est l’intérêt ???

Alors, ça ne veut pas dire qu’une fois que vous aurez vos outils de communication, vous ne pourrez plus en changer. Bien sûr que vous pourrez, mais on sera plus dans l’idée d’un « toilettage » tous les 3 à 5 ans, une évolution de votre marque qui suivra votre évolution personnelle de solopreneur. Vous évoluez, il est normal que votre marque, qui est fondée sur votre essence, évolue en parallèle.

 

5 erreurs à éviter quand on veut se démarquer#5- Ne pas prendre le temps de faire ce travail en amont sur votre branding

Oui, ça demande un peu de temps de faire ce travail d’introspection sur qui vous êtes, pourquoi vous faites ce que vous faites, afin de construire une marque forte inscrite sur le long terme.

Vos différenciateurs sont nombreux et ils sont partout : votre vision d’entrepreneur, vos valeurs, les qualités que vous voulez voir associées à votre marque, vos produits/services, votre positionnement prix… sont autant d’éléments pour vous démarquer, pour être différent sur votre marché.

Ah, j’oubliais, j’entends souvent dire : « Vous devez vous différencier pour être meilleur ». Ça n’a rien à voir ! « Être différent » ne veut pas dire « être meilleur ».

Être différent, ça veut dire être différent, au sens littéral du terme. Tout simplement !

 

Et vous, avez-vous identifié ce qui vous permet de vous démarquer ? Quelles sont ces petites singularité qui font toute la saveur de votre marque ?

Si ce n’est pas le cas et que vous pensez que cela vous empêche d’avancer comme vous le voulez avec votre activité, prenons rendez-vous pour une séance découverte offerte. Vous repartirez avec la vision de ce qui vous freine et comment vous pouvez le dépasser.

Faut-il relancer ses anciens clients ?

Faut-il relancer ses anciens clients ?

Aujourd’hui, je réponds à une question d’une personne présente au précédent Facebook live et qui voulait savoir s’il fallait « se rappeler au bon souvenir des anciens clients et des personnes rencontrées ».

C’est vrai que quand on est à son compte, il y a beaucoup de tâches à effectuer au quotidien. Et quand le temps vient à manquer (roooh, si peu ;-)), on sélectionne en fonction des priorités, mais aussi en fonction du degré d’attrait que revêtent certaines d’entre elles, dont notamment la relance.

Comment relancer, c’est ce dont nous avons parlé lors de ce Facebook live avec échange autour des pratiques de chacune des présentes. Et je vous livre aussi mon point de vue sur « Pourquoi » il est nécessaire de relancer.

>>> Et pour celles et ceux qui préfèrent lire :

 

Alors, oui, il est important de relancer ses anciens clients et de ne pas bâcler ou zapper ce temps fort de votre vie de solopreneur. Suivant le stade où se situe la personne dans le processus de vente, on va le faire différemment.
Mais avant de devenir un de nos meilleurs clients ?, notre interlocuteur va passer par ces 4 étapes :

– Suspect (oui, je sais, le nom est atroce !) : c’est une personne qui pourrait être potentiellement intéressée par mon offre,

– Prospect : c’est quelqu’un qui s’intéresse à mon offre et l’a identifiée.
On parle de prospect « froid » quand il n’est pas encore entré en contact direct avec nous, et de prospect « chaud » quand il a fait une demande sur notre offre et que l’on a eu une conversation de vente avec lui,

– Client : il a acheté mon offre,

– Ambassadeur : il recommande mon offre autour de lui.

Pour chaque niveau, l’objectif de relance va être un peu différent. Mais tout d’abord, voyons pourquoi il est nécessaire de relancer ses anciens clients (cela vous incitera, je l’espère, à le faire…)

 

Pourquoi relancer ses anciens clients ?

En ce qui concerne les « suspects », l’objectif est de commencer à créer du lien, si l’on sent une affinité avec la personne (problématique à laquelle notre offre répond, partage de valeurs, activités complémentaires…).

 

Pour les « prospects » à qui vous avez fait une offre, je recommande toujours à mes clients de relancer, tant que leur prospect n’a pas clairement dit « Non ».
Saviez-vous que près de 50% des commerciaux (dont vous faites partie, chère solopreneur) ne relancent pas et passent donc à côté de ventes potentielles, car selon les secteurs, la vente se conclue entre la… 4ème et la… 11ème relance. L’objectif, ici, sera donc de relancer tout en douceur.

 

Enfin, pour les anciens clients : oui, 2 fois oui, parce qu’ils ont déjà acheté votre service ou votre produit, ils vous connaissent, c’est donc plus facile de leur vendre une autre prestation.
Il faut savoir que réactiver un ancien client vous coûtera moins cher que de transformer un prospect en client.

Si vous avez une newsletter avec une liste d’abonnés, sachez que ce peut être aussi l’occasion de faire du nettoyage par rapport à vos « abonnés absents » (terme utilisé par Delphine Debauve d’Opitulari) car il faut savoir que les algorithmes des services de messagerie regardent la réactivité de vos lecteurs quant à votre prose. Si celle-ci est trop faible, l’algorithme considère que vos newsletter ne suscitent pas assez de réaction et donc peut les placer en spam, avec pour conséquence de pénaliser vos lecteurs actifs…

 

Maintenant que nous avons vu pourquoi il était utile de relancer ses anciens clients, voyons comment le faire.

 

Comment relancer ses anciens clients ?

– Pour les « suspects » (je ne me ferai jamais à ce terme…), vous pouvez commencer à nouer une relation en vous connectant via les réseaux sociaux, en envoyant le renseignement promis lors de votre 1ère rencontre, ou en proposant la rédaction d’un article invité ou un partenariat par exemple.

 

– Pour les « prospects », les relances passent mieux quand elles sont personnalisées et non pas automatisées. Je parle là des prospects avec qui vous avez déjà eus des conversations de vente, et cela peut se faire sous différentes formes : par exemple, en envoyant le témoignage d’un client qui a acheté la même offre ou toute autre information qui pourrait être utile à votre prospect pour le décider. D’où l’importance d’avoir un fichier prospect (RGPD conforme !?)
Si votre fichier est constitué suite à des webinaires, les relances peuvent-être automatisées car on parle ici de prospects « froids ».

 

relancer ses anciens clients– Enfin pour les anciens clients et vos « abonnés absents », vous pouvez les réactiver en :

  • leur proposant des offres exclusives avec un tarif rien que pour eux (les clients adoooorent),
  • leur envoyant une information susceptible de les intéresser, pour leur activité ou eux-mêmes (là aussi, attention à avoir un fichier client RGPD friendly !),
  • leur demandant de vous recommander en échange d’une remise sur une de vos offres pour un filleul qui se présenterait en leur nom,
  • leur demandant carrément, si vous leur envoyez des newsletters. Dans ce cas, isolez vos « abonnés absents », envoyez leurs une séquence de 3 mails max, dont le dernier leur posera franchement la question.

 

Je sais que tout ce qui touche à la vente peut être anxiogène et peut mettre mal à l’aise (soit parce qu’on manque de techniques, soit parce qu’on a un mauvais rapport à la vente).

C’est pourquoi j’ai créé le programme « Sincérité » pour apprendre à avoir des conversations de vente, où le mot « vente » est associé à respect, intégrité et énergie du coeur, c’est-à-dire être et agir pour le bien de vos futurs clients (et non faire un maximum de vente et basta, quel que soit le résultat pour mon client).

C’est une vision de la vente avec plus de proximité et de chaleur, dont tout le monde ressort gagnant-gagnant. Avec ce programme, vous apprendrez à avoir des conversations de vente et à maitriser l’art subtil de la création de clients sans jamais faire de compromis avec qui vous êtes et vos valeurs.
Envie d’en savoir plus ? C’est par ici.