5 erreurs à éviter quand on veut se démarquer

5 erreurs à éviter quand on veut se démarquer

« Pas facile de se démarquer de la concurrence », telle était la remarque d’une ancienne cliente lors d’un précédent live.

C’est vrai, identifier ce qui nous rend différente et unique n’est pas la tâche la plus facile dans notre métier de solopreneur (oui, être entrepreneur, ça s’apprend !), mais il est vite possible de commettre des impairs en la matière.

Dans ce live, je vous partage un petit tour d’horizon des 5 erreurs à éviter quand on veut se démarquer :

>>> Et pour celles et ceux qui préfèrent lire :

 

Quand on pense « se démarquer », « se différencier », on entre dans la notion de ce qu’on appelle en marketing le « branding ». Cette grosse bébête, c’est ce qui vous permet de cerner votre différence et de l’incarner, pour pouvoir toucher le coeur de vos clients. Si on veut le simplifier à une formule, ce serait :

Être + Faire + Recevoir
(pour ma part, je parle même d' »Accueillir » tant il peut être difficile pour certaines de mes clientes solopreneurs d’accepter ce qu’elles reçoivent en retour de ce qu’elles sont et font…)

Et parce qu’il est important de créer dès le départ une marque forte, qui connecte facilement avec son audience, voici 5 erreurs à éviter quand on veut se démarquer des autres acteurs de son marché :

 

#1- Résumer le branding à un logo et un nom

Pour beaucoup de personnes, quand on parle de se différencier, on pense : site internet, logo, charte graphique, police d’écriture… Tous ces éléments font partie du branding mais ce n’est qu’une partie de l’iceberg, c’est le résultat, la partie visible de quelque chose qui est beaucoup plus profond.

Un peu d’histoire pour comprendre ce qui se cache derrière ce terme. Notre ami Wikipédia nous apprend que le terme « Branding » vient de l’anglo-saxon « Brand » (lui-même issu du germanique « Brend/t) qui, à l’origine, signifiait « marqué par le feu », puis « marqué au fer rouge » (en référence au bétail qu’on marquait pour savoir à qui il appartenait).

Aujourd’hui, en marketing, on va parler de comment votre activité va marquer l’esprit de votre audience, quelle image elle va lui laisser. Et si on se réfère à l’encyclopédie de l’entrepreneur : « Votre marque est la promesse que vous faites à vos clients. Elle leur raconte ce qu’ils peuvent attendre de vos produits/services et elle différencie votre offre de celle de vos concurrents. Votre marque trouve sa source dans qui vous êtes, comment vous voulez être perçue et comment les autres vous perçoivent ».

Donc quand on parle de « Branding » on est là dans les 3 dimensions de l’image, où votre logo, votre site, vos couleurs, votre police de caractère… sont l’expression de qui vous êtes en tant que solopreneur, à destination de votre audience.

 

#2- Copier le voisin

C’est ce qui ce passe quand on n’est pas au clair sur qui on est. Malheureusement, ce qui fonctionne pour un autre acteur de votre marché (je n’aime pas le terme de « concurrent ») ne va pas le faire pour vous.

Pourquoi ?

Parce que cet autre acteur aura certainement fait ce travail de fond qui lui permettra de connecter avec son public. Rappelez-vous, ce que vos clients achètent, ce n’est pas tellement votre produit/service. Ce qu’ils achètent, c’est l’émotion qu’ils vont ressentir, c’est cette promesse, cette connexion émotionnelle qui va les attirer (ou pas).

Et comme vous êtes unique, votre promesse aussi doit être unique !

 

#3- L’absence de cohérence

Une fois que vous êtes au clair sur qui vous êtes, ça doit se retrouver dans tout ce que vous faites dans votre activité, que ce soit votre comportement tout comme vos outils de communication.

Pourquoi ?

Parce que cela a un côté rassurant pour vos clients : votre message, votre valeur ajoutée ne change pas et ça se retrouve dans tout votre environnement de marque. Et c’est cette cohérence qui va permettre à votre audience de reconnaitre votre marque parmi tous les autres acteurs de votre marché.

 

#4- L’absence de constance

Je vois beaucoup de solopreneurs changer constamment, soit pour suivre la tendance du moment (une police de caractère est tendance et hop ! on l’adopte… pour en changer à la prochaine), soit, et c’est un paradoxe, parce que le solopreneur reste trop centré sur lui-même sans penser au message envoyé à son audience.

J’ai rencontré une solopreneur qui changeait la couleur de ses flyers tous les ans pour savoir, quand la personne venait la voir, en quelle année elle avait eu un 1er contact avec elle ! Sérieux, où est l’intérêt ???

Alors, ça ne veut pas dire qu’une fois que vous aurez vos outils de communication, vous ne pourrez plus en changer. Bien sûr que vous pourrez, mais on sera plus dans l’idée d’un « toilettage » tous les 3 à 5 ans, une évolution de votre marque qui suivra votre évolution personnelle de solopreneur. Vous évoluez, il est normal que votre marque, qui est fondée sur votre essence, évolue en parallèle.

 

5 erreurs à éviter quand on veut se démarquer#5- Ne pas prendre le temps de faire ce travail en amont sur votre branding

Oui, ça demande un peu de temps de faire ce travail d’introspection sur qui vous êtes, pourquoi vous faites ce que vous faites, afin de construire une marque forte inscrite sur le long terme.

Vos différenciateurs sont nombreux et ils sont partout : votre vision d’entrepreneur, vos valeurs, les qualités que vous voulez voir associées à votre marque, vos produits/services, votre positionnement prix… sont autant d’éléments pour vous démarquer, pour être différent sur votre marché.

Ah, j’oubliais, j’entends souvent dire : « Vous devez vous différencier pour être meilleur ». Ça n’a rien à voir ! « Être différent » ne veut pas dire « être meilleur ».

Être différent, ça veut dire être différent, au sens littéral du terme. Tout simplement !

 

Et vous, avez-vous identifié ce qui vous permet de vous démarquer ? Quelles sont ces petites singularité qui font toute la saveur de votre marque ?

Si ce n’est pas le cas et que vous pensez que cela vous empêche d’avancer comme vous le voulez avec votre activité, prenons rendez-vous pour une séance découverte offerte. Vous repartirez avec la vision de ce qui vous freine et comment vous pouvez le dépasser.

Faut-il relancer ses anciens clients ?

Faut-il relancer ses anciens clients ?

Aujourd’hui, je réponds à une question d’une personne présente au précédent Facebook live et qui voulait savoir s’il fallait « se rappeler au bon souvenir des anciens clients et des personnes rencontrées ».

C’est vrai que quand on est à son compte, il y a beaucoup de tâches à effectuer au quotidien. Et quand le temps vient à manquer (roooh, si peu ;-)), on sélectionne en fonction des priorités, mais aussi en fonction du degré d’attrait que revêtent certaines d’entre elles, dont notamment la relance.

Comment relancer, c’est ce dont nous avons parlé lors de ce Facebook live avec échange autour des pratiques de chacune des présentes. Et je vous livre aussi mon point de vue sur « Pourquoi » il est nécessaire de relancer.

>>> Et pour celles et ceux qui préfèrent lire :

 

Alors, oui, il est important de relancer ses anciens clients et de ne pas bâcler ou zapper ce temps fort de votre vie de solopreneur. Suivant le stade où se situe la personne dans le processus de vente, on va le faire différemment.
Mais avant de devenir un de nos meilleurs clients ?, notre interlocuteur va passer par ces 4 étapes :

– Suspect (oui, je sais, le nom est atroce !) : c’est une personne qui pourrait être potentiellement intéressée par mon offre,

– Prospect : c’est quelqu’un qui s’intéresse à mon offre et l’a identifiée.
On parle de prospect « froid » quand il n’est pas encore entré en contact direct avec nous, et de prospect « chaud » quand il a fait une demande sur notre offre et que l’on a eu une conversation de vente avec lui,

– Client : il a acheté mon offre,

– Ambassadeur : il recommande mon offre autour de lui.

Pour chaque niveau, l’objectif de relance va être un peu différent. Mais tout d’abord, voyons pourquoi il est nécessaire de relancer ses anciens clients (cela vous incitera, je l’espère, à le faire…)

 

Pourquoi relancer ses anciens clients ?

En ce qui concerne les « suspects », l’objectif est de commencer à créer du lien, si l’on sent une affinité avec la personne (problématique à laquelle notre offre répond, partage de valeurs, activités complémentaires…).

 

Pour les « prospects » à qui vous avez fait une offre, je recommande toujours à mes clients de relancer, tant que leur prospect n’a pas clairement dit « Non ».
Saviez-vous que près de 50% des commerciaux (dont vous faites partie, chère solopreneur) ne relancent pas et passent donc à côté de ventes potentielles, car selon les secteurs, la vente se conclue entre la… 4ème et la… 11ème relance. L’objectif, ici, sera donc de relancer tout en douceur.

 

Enfin, pour les anciens clients : oui, 2 fois oui, parce qu’ils ont déjà acheté votre service ou votre produit, ils vous connaissent, c’est donc plus facile de leur vendre une autre prestation.
Il faut savoir que réactiver un ancien client vous coûtera moins cher que de transformer un prospect en client.

Si vous avez une newsletter avec une liste d’abonnés, sachez que ce peut être aussi l’occasion de faire du nettoyage par rapport à vos « abonnés absents » (terme utilisé par Delphine Debauve d’Opitulari) car il faut savoir que les algorithmes des services de messagerie regardent la réactivité de vos lecteurs quant à votre prose. Si celle-ci est trop faible, l’algorithme considère que vos newsletter ne suscitent pas assez de réaction et donc peut les placer en spam, avec pour conséquence de pénaliser vos lecteurs actifs…

 

Maintenant que nous avons vu pourquoi il était utile de relancer ses anciens clients, voyons comment le faire.

 

Comment relancer ses anciens clients ?

– Pour les « suspects » (je ne me ferai jamais à ce terme…), vous pouvez commencer à nouer une relation en vous connectant via les réseaux sociaux, en envoyant le renseignement promis lors de votre 1ère rencontre, ou en proposant la rédaction d’un article invité ou un partenariat par exemple.

 

– Pour les « prospects », les relances passent mieux quand elles sont personnalisées et non pas automatisées. Je parle là des prospects avec qui vous avez déjà eus des conversations de vente, et cela peut se faire sous différentes formes : par exemple, en envoyant le témoignage d’un client qui a acheté la même offre ou toute autre information qui pourrait être utile à votre prospect pour le décider. D’où l’importance d’avoir un fichier prospect (RGPD conforme !?)
Si votre fichier est constitué suite à des webinaires, les relances peuvent-être automatisées car on parle ici de prospects « froids ».

 

relancer ses anciens clients– Enfin pour les anciens clients et vos « abonnés absents », vous pouvez les réactiver en :

  • leur proposant des offres exclusives avec un tarif rien que pour eux (les clients adoooorent),
  • leur envoyant une information susceptible de les intéresser, pour leur activité ou eux-mêmes (là aussi, attention à avoir un fichier client RGPD friendly !),
  • leur demandant de vous recommander en échange d’une remise sur une de vos offres pour un filleul qui se présenterait en leur nom,
  • leur demandant carrément, si vous leur envoyez des newsletters. Dans ce cas, isolez vos « abonnés absents », envoyez leurs une séquence de 3 mails max, dont le dernier leur posera franchement la question.

 

Je sais que tout ce qui touche à la vente peut être anxiogène et peut mettre mal à l’aise (soit parce qu’on manque de techniques, soit parce qu’on a un mauvais rapport à la vente).

C’est pourquoi j’ai créé le programme « Sincérité » pour apprendre à avoir des conversations de vente, où le mot « vente » est associé à respect, intégrité et énergie du coeur, c’est-à-dire être et agir pour le bien de vos futurs clients (et non faire un maximum de vente et basta, quel que soit le résultat pour mon client).

C’est une vision de la vente avec plus de proximité et de chaleur, dont tout le monde ressort gagnant-gagnant. Avec ce programme, vous apprendrez à avoir des conversations de vente et à maitriser l’art subtil de la création de clients sans jamais faire de compromis avec qui vous êtes et vos valeurs.
Envie d’en savoir plus ? C’est par ici.

Comment être magnétique aux yeux de vos clients ?

Comment être magnétique aux yeux de vos clients ?

Vous est-il déjà arrivée d’avoir un prospect qui vous rappelle des mois, voire des années, plus tard pour travailler avec vous ? Et vous vous êtes dit que vous aviez dû « dire » ou « faire » quelque chose qui l’a interpellé.

En fait, c’est certainement votre manière « d’être » qui l’a marqué et qui vous a rendu magnétique aux yeux (et je devrais dire dans le coeur) de votre (désormais) client. 

Dans ce live, je vous explique comment faire pour créer cette connexion émotionnelle qui fait que votre prospect a gardé votre carte de visite car il avait VRAIMENT envie de travailler avec vous, même s’il n’était pas encore prêt à le faire.

>> Et pour celles et ceux qui préfèrent lire :

 

La semaine prochaine, je vais animer un atelier sur le pitch de présentation auprès du Réseau Entreprendre de Picardie, alors que mon 1er contact a eu lieu en janvier… 2017 ! Soit un an et demi après !

Pour la petite histoire, la personne m’avait prévenu qu’elle ne prendrait pas de décision avant septembre 2017. Et ayant eu des soucis personnels en cette période, je n’ai pas relancé mon client (à l’inverse de ce que je préconise à mes clientes…)

Ouuuuh ! 1 bad point !

Oui, je sais… Les cordonniers…

Ça n’a pas empêché mon client de me rappeler en février de cette année pour me dire qu’il espérait que je sois toujours disponible, parce que lui, en tout cas, était toujours intéressé par ma proposition. À moi de choisir 1 date entre mai et juin.

Pourquoi m’a t’il rappelé ? Qu’est-ce qui fait que ça a fonctionné ?

En fait, ce n’est pas ce que vous dites ou faites qui importe, mais plutôt la manière dont vous le dites, comment vous êtes, qui retient l’attention de votre interlocuteur. Alors voici 3 points pour ÊTRE concrètement magnétique aux yeux de vos clients :

 

#1 – Avoir votre positionnement clairement établi

Votre positionnement, c’est : pourquoi vous faites ce que vous faites + ce que vous faites + comment vous le faites.

Quand vous avez un positionnement clair et cohérent, alors vous avez construit le socle fondateur de votre activité. Et c’est ce positionnement solide qui vous confère cette même solidité intérieure, cette confiance en vous, que vous allez ensuite rayonner et qui va capter l’attention de votre interlocuteur.

Pourquoi ?

Parce qu’on achète avec nos émotions. Et que vous avez transmis une émotion positive qui fait que votre client se dit : « C’est avec cette personne que je veux travailler, et pas une autre ! ». Même s’il revient vers vous un an et demi après.

 

#2 – Poser une intention

En allant à ce rendez-vous, j’avais une intention positive très précise : après avoir travaillé en individuel, je voulais partager mon message et mon savoir avec un plus grand nombre.

Là aussi, quand vous êtes au clair sur votre intention, votre cerveau s’engage plus facilement dans les actions à mener : j’avais identifié les institutions que je voulais approcher et préparé la présentation de mes ateliers. J’étais prête à sortir de ma zone de confort !   Comment être magnétique aux yeux de votre client

 

#3 – … Et lâcher prise !

Ce qui veut dire lâcher toute attente sur les résultats.

Et que votre conscient arrête de vouloir tout maitriser, pour ouvrir la porte à votre authenticité et à votre confiance, que vous allez ainsi pouvoir communiquer à votre interlocuteur.

Être vous-même !

 

Alors dites-moi, avez-vous déjà eu un prospect qui vous a rappelé bien après votre 1er contact ? Qu’avez-vous pensé à ce moment ?  Partagez moi dans les commentaires votre expérience !

 

Vous souhaitez faire le point sur votre positionnement et identifier comment être différente pour capter le coeur de vos clients ?

Rencontrons-nous lors d’une session découverte et découvrez comment devenir magnétique aux yeux (et dans le coeur) de vos clients !

Comment développer sa vision d’entrepreneur pour réussir sa solo-entreprise

Comment développer sa vision d’entrepreneur pour réussir sa solo-entreprise

Vous est-il déjà arrivé de ne plus savoir par quel bout commencer, dans votre solo-entreprise ? D’être tellement submergée que vous n’avancez pas et après, rongée par la culpabilité, vous donnez un grand coup d’accélérateur et partez à fond sur plusieurs projets (pour rattraper le temps perdu) et vous retrouver… submergée par tant de choses à faire ?

Oui ?

Alors c’est peut-être que vos 3 dimensions de chef d’entreprise ne sont pas équilibrées. Dans ce facebook live, je vous décris ces 3 dimensions, et comment faire pour qu’elles travaillent main dans la main au succès de votre entreprise.

>>> Et pour celles et ceux qui préfèrent lire :

 

Pour mener à bien son aventure entrepreneuriale, tout chef de solo-entreprise devrait avoir développé les 3 dimensions que voici (ceci est tiré du livre de Michael Gerber : The E-myth revisited, why small businesses don’t work and what to do about it) :

  • L’entrepreneur : c’est le visionnaire, celui qui voit loin, qui envisage le futur, voit les possibilités, crée les opportunités et donne la direction dans laquelle va aller l’entreprise. L’entrepreneur visionnaire vit dans le futur.
    Le problème : il voit tellement de possibilités autour de lui qu’il veut toutes les saisir et ça part dans tous les sens.
  • Le manager : c’est celui qui se préoccupe d’efficacité, qui gère l’entreprise, qui planifie et fait les prévisions.
    Le problème : là où l’entrepreneur voit des possibilités, le manager voit des problèmes, des difficultés.
  • Le technicien : c’est celui qui effectue le travail à proprement parlé, votre métier, celui pour lequel vous êtes formé.
    Le problème : il ne veut faire que son métier (sa passion) et considère toutes les autres activités comme une perte de temps. Or quand on devient solopreneur, on a besoin d’avoir développé les 2 autres dimensions pour pouvoir faire tourner son activité.

 

Pourquoi ça bloque ?

Pas facile de faire cohabiter ces 3 dimensions en nous, car chacune veut être l’unique, celle qui dirige les autres.

Pourtant ces 3 dimensions sont aussi importantes les unes que les autres, même si elles devraient intervenir dans un ordre bien précis : l’entrepreneur a une vision que le manager transforme en action que le technicien va effectuer.

Donc, pour que ça fonctionne, ces 3 dimensions doivent être équilibrées entre elles et bien entendu, vous avez besoin de les avoir développées.

Pour la dimension « Technicien », normalement vous êtes formée à votre métier. Donc ✅.

Pour la dimension « Manager », vous avez peut-être suivi des formations pour acquérir diverses compétences et lancer votre solo-entreprise. Donc ✅.

comment développer sa vision d'entrepreneurPour la dimension « Entrepreneur visionnaire », c’est un peu plus compliqué, parce qu’on touche là au domaine du conceptuel, du monde des idées.

D’une part, c’est difficile à mettre en place parce qu’on passe rarement ses journées à réfléchir à sa vision.

D’autre part, cela demande de consacrer du temps à envisager le futur à long terme de sa solo-entreprise (ce que très peu de solopreneurs font…), mais aussi de l’avoir rendu tangible pour que le manager et le technicien en nous coopèrent main dans la main à réaliser la vision de l’entrepreneur.

Parce que, quand on sait où on va, comment on y va et pourquoi on y va, cela devient beaucoup plus facile de travailler ensemble (et là, on parle quand même de ces 3 dimensions qui sont en vous, donc impossible d’en virer une qui ne ferait pas son job…).

Par contre, une fois que vous avez clairement défini votre vision et les actions nécessaires pour la réaliser, vous voyez bien que les 2 autres dimensions vont pouvoir s’activer et que vous allez pouvoir les mobiliser avec simplicité et facilité. Bye, bye procrastination !

Pour que ça fonctionne et que vous puissiez mener à bien votre solo-entreprise, ces 3 dimensions doivent être à l’équilibre pour s’entrainer mutuellement, mais aussi se temporiser les unes les autres. Par exemple, voici ce qu’elles peuvent se dire : « Hey l’entrepreneur visionnaire ! Cette soi-disant « opportunité » nous éloigne de notre objectif, donc choisissons de ne pas y aller ».

Et voilà comment on économise temps, énergie et argent en faisant les bons choix pour son activité !

 

Alors comment développer sa dimension « Entrepreneur visionnaire » ?

Je sais que ce n’est pas facile de créer sa vision d’entrepreneur. On est dans le conceptuel et ça demande de passer du temps à penser au futur de son activité, donc ça ne semble pas très productif au Manager ou au Technicien en nous.

Pourtant, avoir créé sa vision d’entrepreneur, c’est avoir créé la clé de voute de votre solo-entreprise et c’est un formidable booster de votre moteur (intérieur) d’entrepreneur.

C’est pourquoi j’ai créé le programme « 5 jours pour mettre un tigre dans son moteur d’entrepreneur« , un pas à pas pour fabriquer chaque pièce qui compose votre moteur d’entrepreneur en faisant la part belle à votre créativité.

Pour en savoir plus, c’est ici.

5 signes qui montrent que votre entourage ne vous soutient pas

5 signes qui montrent que votre entourage ne vous soutient pas

La vie du solopreneur n’est pas toujours si tranquille qu’on le croit et dans les remous, pour tenir bon, ça aide de se sentir soutenue, surtout par son entourage proche.

Il arrive pourtant que ce ne soit pas toujours le cas, et que nous ayons l’impression que notre entourage nous met plus de bâtons dans les roues qu’autre chose. Intentionnellement ou pas, d’ailleurs !

Alors, comment reconnaitre que votre entourage ne vous soutient pas ? Comment tenir malgré tout, c’est ce que je vous explique dans cette vidéo issue d’un de mes lives.

 

Et pour celles et ceux qui préfèrent lire :

 

On dit que pour réussir quand on lance son activité, on a besoin d’avoir autour de soi un cercle d’environ 10 personnes pour vous soutenir in-con-di-tio-nne-lle-ment. Cela inclus les personnes qui vivent sous le même toit que vous ou votre famille proche (sachant que les ami(e)s peuvent aussi faire partie de vos soutiens mais pas au même niveau).

Et pourtant il se peut que ce ne soit pas le cas et qu’ils le manifestent de différentes manières. Et dans ce cas, comment tenir bon ?

 

#1- Ces signes qui vous montrent que votre entourage ne vous soutient pas :

☹️ Les petites phrases (pas si) anodines que ça : du style « quand est-ce que tu te cherches un vrai travail », « eh bien, maintenant, tu vas pouvoir te chercher un travail » (hey, mais j’en ai un, de travail ! Même si je débute !) ou encore « Tu sais, les autres ont du mal, alors tu crois que tu vas pouvoir y arriver ? ».
Sous couvert de sollicitude (feinte ? sournoise ?), ça aurait plutôt tendance à vous décourager, non ?

☹️ La (glaciale) indifférence : dans ce cas, la personne ne montre aucun intérêt pour votre activité, elle ne vous pose jamais de question sur ce que vous faites. Limite si elle sait ce que vous faites, d’ailleurs…

☹️ Les bâtons… dans les roues (au lieu de vous soutenir) : dans ce cas, la personne en face de vous rajoute une contrainte supplémentaire à tout ce que vous avez déjà à faire : « Non, je ne vais pas pouvoir te déposer (comme prévu), va falloir que tu te débrouilles sans moi ». Super…

☹️Le manque de reconnaissance pour vos compétences : « oui, ben, tout ça, tout le monde peut le faire » ou « je peux le faire aussi bien que toi ». Ou à la suite d’un témoignage client : « c’est parce qu’il a voulu te faire plaisir ». En somme, vous n’êtes pas capable de faire quelque chose de bien dans votre activité !

☹️L’irrespect pour votre travail : un peu comme le précédent, mais là, au lieu de dénigrer vos talents, on vous dérange dans votre travail : arrivée impromptue dans votre bureau alors que vous êtes en vidéo-conférence, que vous aviez prévenu et fermé la porte, ou 10 appels + 5 sms alors que vous êtes en rendez-vous client…

Dans ces 2 derniers cas, le manque de soutien est un peu plus caractérisé, un peu plus frontal.

 

5 signes que votre entourage ne vous soutient pas

#2- Pourquoi cette attitude ?

– Si cela vient de votre ado, sachez que c’est tout à fait normal ! Les ados sont tournés vers leur monde, et votre entreprise n’en fait pas partie.

– Pour les autres, cela oscille entre la jalousie (eh oui, même dans votre famille !) et la peur que vous preniez trop de place dans la famille, que vous n’attiriez trop de lumière sur vous. En tout cas, quand les comportements cités plus haut sont récurrents.

 

 

#3- Comment tenir malgré tout ?

  •  Evidemment, on aurait envie de dire qu’il vaut mieux fuir ces personnes. Impossible car elles font partie de votre famille… Dans ce cas, restez lisse, évitez de parler de votre activité, de toute façon vous ne recevrez rien de positif. Il vous faudra aller chercher un soutien à l’extérieur (ami(e)s, networking, coach…)
  • Utilisez vos chiffres et faites leur dire ce dont vous avez besoin : un « tu sais, j’ai doublé mon chiffre d’affaires par rapport à l’année dernière » est assez radical pour contrer ce manque de soutien (et ce, même si vos chiffres sont petits ! Pas besoin de claironner le montant, restez général…
  • Restez focalisée sur vos objectifs et votre vision d’entrepreneur, à la condition que vous les ayez mis par écrit et que vous les ayez rendus concrets pour en faire vos meilleurs alliés, et les intégrer dans votre cercle de soutien.

Je sais que ce n’est pas facile d’avoir élaboré sa vision d’entrepreneur, c’est pour cela que je vous invite à rejoindre mon programme en ligne « 5 jours pour mettre un tigre dans votre moteur d’entrepreneur ».

Grâce à ce programme, vous allez créer une image concrète de votre vision d’entrepreneur, définir les actions qui vous permettront de la réaliser et… soutenir votre motivation, même quand votre entourage vous fait défaut !

Pour vous en savoir plus sur ce programme en ligne, c’est par ici.